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L'antre des Fées
22 février 2018

Et de 5!

Bonjour, 

Aujourd'hui, je reviens vous parler d'un grand projet que j'ai commencé, il y a déjà plusieurs années... Mais bon, quand on aime, on ne compte pas...

La dernière fois que je vous en avais parlé, nous en étions à 99 carrés réalisés. Pour une petite piqure de rappel, allez voir là! 

J'ai donc voulu profiter des vacances  (et de ce que la machine était sortie pour les coussins de la demoiselle) pour continuer un peu.

J'ai donc commencé à coudre les bandes de 9 carrés et puis ensuite il a fallu coudre les bandes ensemble. Et aujourd'hui j'en suis à 5! Déjà pas si mal, qu'en pensez-vous? Surtout que sur la longueur, on n'est pas loin des 100 épingles à mettre en place.

Si, si, je vous assure, il est grand, la preuve sur mon lit: 

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J'ai même voulu le prendre du dessus mais impossible même en montant sur mon lit, de l'avoir en totalité:

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Alors je l'ai remis par terre, mais même là, à part en biais, je n'y arrive pas.

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Et là où je suis contente, c'est que désormais on voit bien les cercles que doivent former les dessins:

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par contre, et là je vais faire appel aux pro du patch, j'ai un souci avec les jointures. Autant au niveau des côtés d'étoile, ça va, autant les morceaux clairs, impossible de les mettre en face. Ca gondole... Et pourtant je mets un paquet d'épingles et je repasse! 

Alors si vous avez un truc, je suis preneuse parce que je me demande comment je vais quilter après.

Sur ce, je vous quitte, bonne fin de journée et à bientôt! 

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20 février 2018

Terminé en moins de 2 jours!

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Bonjour, 

Aujourd'hui, après la couture d'hier, je reviens vous parler d'un livre que j'ai terminé en moins de 2 jours! 

Il s'agit de celui-ci: 

Lorsque j'ai vu la couverture, je me suis dit que ça allait parler de personnes qui se retrouvaient coincées dans un endroit perdu ou alors que certains allaient essayer de se passer de leur tablette. Comme quoi, on est souvent surpris par le 4ème de couverture... 

Quoi qu'avec le recul, en y regardant bien, les 3 personnages en bas sont sur du rouge, et ce rouge, si on s'y attarde, on peut voir que c'est une tache. Tache rouge, tache de sang?? Pourquoi pas. 

Et là on va lire l'arrière et on trouve ça:

Mutée disciplinairement à New York, Colorado, un petit village raciste du fin fond de l'Amérique, sans couverture mobile et où il ne se passe jamais rien, la lieutenant de police de couleur noire, à forte corpulence, Agatha Crispies a trouvé un échappatoire à son désoeuvrement dans l'animation d'un club de lecture au sein du commissariat. Mais alors qu'elle désespérait de pouvoir un jour enquêter à nouveau sur un meurtre autre que celui d'un écureuil, une série d'effroyables assassinats et disparitions viennent (enfin) troubler la tranquillité des lieux, mettant à l'épreuve ses connaissances littéraires. Puértolas signe un drôle de thriller loufoque, un poilar !

J'ai adoré ce livre. On ne sait jamais à quoi s'attendre. Déjà rien que les noms de chapitre à rallonge donnent envie. 

Et puis on nous parle de littérature (le livre est rempli d'anecdotes sur les livres et les auteurs connus) puis de meurtre, tout ça dans un style très drôle. 

Bref, on suit avec plaisir l'enquête d'Agatha crispies comme Christie et pas comme les corn flakes et du sherrif Mc Donald. On rencontre ensuite un médecin légiste, des écureuils radioactifs, un bucheron beau comme un dieu, une réceptionniste un peu bébette qui pour ne pas le paraitre va dans le village voisin chercher sur FB des informations sur Guerre et Paix et encore bien d'autres.

Qui plus est la fin est totalement rocambolesque. En clair, un livre à se procurer pour passer un bon moment.

Et pour vous donner encore plus envie de le lire, quelques citations choisies:

- La victime a mangé des lentilles avant d’être sauvagement assassinée ! lança le médecin légiste en guise de salut lorsqu’il entra dans la salle de bains.
Les deux policiers se regardèrent un instant, immobiles pendant que l’homme s’inclinait avec une grimace de dégoût au-dessus de la baignoire.
– Vous êtes impressionnant, docteur ! s’exclama Agatha, soufflée. Comment avez-vous pu déduire cela d’un simple coup d’œil ?
– La table n’est pas débarrassée dans la cuisine, expliqua le coroner, et il y a encore des lentilles dans la casserole. J’en ai goûté une cuillerée, elles sont très bonnes. Vous devriez aller y faire un tour avant que les employés de l’entreprise funéraire n’arrivent et ne mangent tout. Ce sont de vrais vautours.  

Ils ont découvert ce qui fait grossir dans les hamburgers, l'informa Agatha.vous ne devinerez jamais. La petite rondelle de tomate...
Les sourcils du superintendant se levèrent sous l'effet de la surprise. Il regarda son assiette, perplexe.
- Maintenant j'enlève la tomate, reprit-elle. Et je mets double ration de ketchup pour compenser.

Agatha était une jeune femme de trente-cinq ans qui en imposait quand elle entrait quelque part. Par son «ampleur», d'abord, car elle n’était que de formes et ne laissait guerre de place autour d'elle. Des seins et un postérieur aussi démesurés que les promesses d'un candidat à la présidence. Par la couleur de sa peau, ensuite, d'un noir de jais, exotique dans ce coin de l'Amérique profonde, voire très profonde. Par son look, enfin. Une énorme boule de cheveux frisés qui reposait sur sa tête comme un nid de cigognes (dans laquelle elle plantait quelquefois un peigne afro, ce qui n’était pas le cas aujourd'hui), des boucles d'oreilles en forme d'ananas, un tee-shirt et un jean extra-moulants afin de mettre en valeur les formes décrites ci-avant et qui semblaient toujours sur le point de craquer. Pour résumer, Agatha Crispies, c’était Whitney Houston après un régime cassoulet et relooking extrême par Bananarama.

Alors, ça donne envie?? 

A vous de voir... Sur ce, bonne fin de journée et à bientôt!

19 février 2018

C'est pas moi qui l'ai fait...

 

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Alors, quoi de neuf par ici? 

Enfin aujourd'hui, un peu autre chose que de la lecture sur ce blog. C'est vrai ça! Au départ, il n'était vraiment pas fait pour cela, mais bon... A défaut de le fermer, autant y mettre quelque chose.

Mais donc comme je le disais, enfin du neuf... 

Et comme le titre l'indique, ce n'est pas moi qui l'ai fait... Je ne sais pas vous mais moi ce titre me rappelle une pub pour une "boisson" au citron. Vous savez quand les 2 filles sont dans la piscine et que l'une dit à l'autre que sa citronnade est trop bonne... Bon si ça ne vous dit rien tant pis, passons et revenons à nos moutons. 

Il y a quelques temps, ma fille a décidé de changer sa décoration de chambre et de se mettre au rythme de la capitale. Ne cherchez pas pourquoi, les magasins de décos et de linge de lit etc... sauraient très bien vous répondre. Toujours est-il qu'elle a voulu changer ses housses de coussin.

Alors samedi, nous sommes allées chez MT et nous avons trouvé du tissu avec ça: 

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ou ça: 

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Et quand je dis que ce n'est pas moi qui l'ai fait, c'est tout simplement parce qu'après avoir payé le coupon, je lui ai dit qu'elle allait devoir faire un peu "toute seule". Alors, attention, je ne l'ai pas laissée seule devant la machine, j'ai tout installé, on a coupé ensemble, repassé ensemble mais pour la couture, c'est elle. 

Et voilà le résultat: 

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2 jolies housses de coussin portefeuille. (avec le recul, je me dis que nous aurions du faire l'ouverture dans l'autre sens mais quand le tissu est coupé, le tissu est coupé!)

Ma fille est ravie du résultat et en plus très fière de pouvoir dire à ses copines: "c'est moi qui les ai faites!"

Sur ce, je vous quitte, passez une bonne fin de journée et à bientôt!

18 février 2018

3 livres pour le prix d'un....

thIBHRGBHPBonjour, 

Comment allez-vous par ici? 

Je profite des vacances pour vous parler de 3 livres que je viens de finir, pas avec le même enthousiasme d'ailleurs.

Le premier qui m'a énormément plu: 

Trois femmes, trois âges, trois amies que les hasards de l'existence et les épreuves ont rapprochées dans un lieu comme aucun autre. Trois façons d'aimer. Aucune ne semble conduire au bonheur. Séparément, elles sont perdues. Ensemble, elles ont une chance. Accrochées à leurs espoirs face aux tempêtes que leur réserve le destin, avec l'énergie et l'imagination propres à celles qui veulent s'en sortir, elles vont tenter le tout pour le tout. Personne ne dit que ça ne fera pas de dégâts... Fidèle à son humanité et à son humour, grâce à son regard unique fait de sensibilité et d'un exceptionnel sens de l'observation de la nature humaine, Gilles Legardinier nous entraîne cette fois au coeur d'une troupe réjouissante, à la croisée des chemins.

Certains pourront peut-être dire que c'est du roman de gare et pas très spirituel. Personnellement je trouve qu'avec le temps Legardinier s'étoffe, qu'il parle de plus en plus de la nature humaine et qu'on se retrouve souvent dans ce qu'il dit.

Et ce qui m'épate également beaucoup, c'est de voir comment cet homme peut ressentir les émotions des femmes avec un si belle justesse. 

Qui plus est, nous pouvons tous nous retrouver dans ce livre: la dame de 60 ans, qui s'interroge sur sa vie et celui avec qui elle la partage (comment être sur qu'elle ne s'est pas trompée et qu'elle l'a vraiment aimé ou alors est-ce seulement la routine qui la fait rester avec lui), celle de quarante ans qui s'est fait larguée, qui tente d'élever du mieux qu'elle peut son fils et qui va apprendre à ne plus se laisser marcher sur les pieds, la toute jeunette qui est passée de mec en mec pour se prouver qu'elle peut plaire mais qui va tomber réellement amoureuse... Et puis on trouve aussi des hommes: celui qui va tout faire pour sa femme qu'il a du mal à suivre, celui qui pense que cette fille trop belle n'est pas pour lui... 

Bref, un petit plaisir à lire!

Le deuxième, que je ne pouvais pas ne pas lire après avoir lu Sapiens:

Que deviendront nos démocraties quand Google et Facebook connaîtront nos goûts et nos préférences politiques mieux que nous-mêmes ? Qu'adviendra-t-il de l'Etat providence lorsque nous, les humains, serons évincés du marché de l'emploi par des ordinateurs plus performants ? Quelle utilisation certaines religions feront-elles de la manipulation génétique ?
Homo Deus nous dévoile ce que sera le monde d'aujourd'hui lorsque, à nos mythes collectifs tels que les dieux, l'argent, l'égalité et la liberté, s'allieront de nouvelles technologies démiurgiques. Et que les algorithmes, de plus en plus intelligents, pourront se passer de notre pouvoir de décision. Car, tandis que l'Homo Sapiens devient un Homo Deus, nous nous forgeons un nouveau destin.
Best-seller international - plus de 200 000 exemplaires vendus en France, traduit dans près de 40 langues - Sapiens interrogeait l'histoire de l'humanité, de l'âge de la pierre à l'ère de la Silicon Valley. Le nouveau livre de Yuval Noah Harari offre un aperçu vertigineux des rêves et des cauchemars qui façonneront le XXIe siècle.

Comme le premier, SAPIENS, j'ai adoré mais ce livre ne peut pas se résumer ni se raconter. Je pense même que comme le premier, il faudrait l'avoir dans sa bibliothèque personnelle pour pouvoir le lire par petits morceaux autant il est impossible de lire les quelques 600 pages qui le composent d'une traite. A chaque paragraphe, il faut réfléchir à ce que l'on vient de lire, l'analyser, le digérer... 

Par contre, ce livre nous montre nos limites et l'on se dit que si vraiment notre futur est tel que l'auteur l'imagine, il est bien noir et démoralisant. Bref, à lire pour que, justement, cela n'arrive pas!

Le dernier: 

Dans une île du nord de la Norvège, un endroit désert, magnifique et spectral où l’été est miraculeusement doux et radieux, Liv vit avec sa mère, un peintre qui s’est retiré là en pleine gloire pour mieux travailler. Son seul ami est un vieil homme qui lui raconte des histoires de trolls, de sirènes et de la huldra, une créature surnaturelle qui apparaît sous les traits d’une femme à l’irrésistible beauté, pour séduire les jeunes gens et les conduire à affronter les dangers et la mort. Noyades inexplicables et disparitions énigmatiques se succèdent au cours des nuits blanches de cet été arctique qui donne aux choses un contour irréel, fantasmagorique. Incapable de sortir de l’adolescence et de vivre dans le monde réel, Liv erre dans ce paysage halluciné et se laisse dangereusement absorber dans la contemplation des mystères qu’il recèle. Voici un livre d’une intense poésie. Lyrique. Féérique. Dérangeant. Comme souvent chez Burnside, on est à la limite – difficile à appréhender – entre ce qu’on sait et ce qu’on rêve. On est aussi dans un grand thriller.

J'ai lu de très bonnes critiques de ce livre mais j'avoue que moi, je n'ai pas aimé du tout. Pourtant je l'ai terminé mais en le lisant en diagonale. En fait, au début on nous parle de noyés, de Liv et de sa mère et on se dit qu'il va y avoir une enquête. Puis Liv reçoit une lettre de l'amie de son père et là on se dit qu'il va se passer quelque chose, qu'on va apprendre d'où elle vient, pourquoi elle ne le connait pas... mais à chaque fois, ce qu'on espère ne se réalise pas et je trouve que ce livre, de ce fait, manque d'action. 

Je l'ai terminé car jusqu'à la fin, je me disais "il va bien se passer un truc, on va nous dévoiler un secret à la fin..." Et bien non. Qui plus est, je trouve la fin vraiment bizarroïde... Alors je ne suis peut-être pas assez philosophe pour ce genre d'ouvrage mais tant pis, je l'assume et je déclare que je ne conseillerais pas ce livre.

Sur ce, passez une bonne soirée, et à bientôt pour d'autres découvertes.

 

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