Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
L'antre des Fées
18 juillet 2022

Encore des livres

Bonjour, 

Comment allez-vous en ce lundi. Pour ma part, j'attends D...Y (pour mon four) et Or..ge (pour la TV que je n'ai toujours pas). 

Donc en attendant, pourquoi ne pas vous faire un petit message? Et puis il fait moins chaud à l'intérieur...

Voici donc ce que j'ai lu depuis le dernier message enfin lu... Vous allez comprendre.

Nouvelle BabelLa méthode, calme et systématique, du tueur terrifia les trois enquêteurs. Qui était cet assassin progressant à visage découvert ? Déjà, leurs tabletas se connectaient aux bases de données planétaires de reconnaissance faciale. Plus personne ne pouvait rester anonyme dans le monde actuel. Dans quelques secondes, ils connaîtraient l'identité de ce monstre.

La suite du film fut plus sidérante encore. 
2097. Sur une île privée paradisiaque inaccessible, de paisibles retraités sont assassinés...
Trois policiers, un journaliste ambitieux et une institutrice nostalgique s'engagent dans une folle course contre la montre pour préserver l'équilibre d'un monde désormais sans frontières, où la technologie permet aux humains d'être à la fois ici et ailleurs.

Bussi d'habitude j'aime bien mais là... Que dire? Qu'il surfe sur la vague Covid pour nous parler d'un monde idéal où l'on pourrait se téléporter où on le veut et donc rester libre même en période de pandémie? En effet, la téléportation ne peut se faire que dans un endroit où le nombre de personnes est calculé donc à l'instant vous pouvez vous retrouver dans un parc où il n'y a personne: plus de problème de distanciation. 

Mais voilà, à trop vouloir nous parler d'un nouveau monde idéal et moderne, j'ai trouvé ce livre trop politisé et pas assez polar (style que j'apprécie chez lui).

J'ai tenté, j'en ai lu la moitié mais ça ne prenait pas.  J'ai préféré le refermer.

Ensuite j'ai lu ceci: 

a l'adresse du bonheurEn lisant les petites annonces, Pierre Saint-Jarme découvre que Ker Joie, la maison de famille vendue dix ans plus tôt, est de nouveau sur le marché. Il se précipite pour la racheter. Trop tard. Alors il la loue, le temps d'un week-end, pour réunir la tribu sur l'île de Groix et organiser l'anniversaire d'Adeline, sa mère. Mais Pierre n'est pas le seul à lire les journaux... Un accident survenu il y a trente-sept ans s'invite à la fête. Tandis qu'Adeline souffle ses quatre-vingts bougies et pioche des moments précieux dans le bocal à émotions, les fracas du passé tracent vers l'île. Et si vous pouviez racheter votre maison d'enfance ? Ce roman ravive les souvenirs, parle du serment d'Hippocrate, de rancune tenace, et surtout d'amour. Il appelle à éclairer la nuit pour ceux qu'on aime, et réveille le parfum des vacances et des recettes de grand-mère.

Rien d'extraordinaire dans ce livre mais il se lit vite et bien. Après Bussi, cela fut assez agréable de ne pas se torturer les méninges. Et puis, la Bretagne est un coin que j'apprécie énormément. Donc, il ne m'en fallait pas plus. 

Je ne vais pas vous en raconter plus que cela, le 4ème de couverture en dit déjà bien assez.

D'un autre côté, il me fallait bien ce roman facile pour la suite de mes lectures, celui-ci je ne vous le conseille pas, à moins d'être enseignant et encore, il est très compliqué à lire. Je trouve même que souvent, l'auteur utilise des mots trop complexes pour parler de choses simples. Mais bon, quand il faut, il faut...

Donc je le mets ici histoire de... mais je ne le noterai pas dans l'album des livres lus. (Surtout qu'il va y en avoir d'autres comme celui-ci cet été)

la geste formationTout métier porte des gestes et des valeurs. Ce livre est consacré à l'analyse des pratiques, à la question des gestes professionnels et à celle de leur transmission dans les métiers de l'enseignement et de la formation. Cet ouvrage n'est ni un livre de didactique, ni de psychologie ou de clinique de l'enseignement mais il approche ces différents aspects par une analyse multiréférentielle, sémiologique et anthropologique des pratiques et des gestes d'un métier qui s'apprend.

Voilà, ce sera tout pour aujourd'hui. Passez une belle journée et à bientôt! 

Publicité
13 juillet 2022

Depuis le 24 juin sans internet...

Bonjour, 

Oui, cela fait un moment que je ne suis pas passée mais que voulez-vous: depuis le 24 juin, j'étais sans internet.

Je vous raconte? 

Le 24 juin, la foudre est tombée sur notre village et sur une ligne à haute tension. Résultat une journée sans éléctricité, une box en rade et le four aussi (je ne me plains pas, dans la rue, il y a eu télévision, plaque de cuisson... qui ont pris).

Bien sur nous avons contacté notre fournisseur, on nous a changé la box mais comme c'était les fils dans la rue qui ne laissaient plus rien passer, cela a pris un certain temps pour être réparé. Nous n'avons donc récupéré internet qu'hier. (et la TV ne marche pas encore!)

Alors on nous avait bien prêté une Rbox en attendant mais voyez-vous ici, nous n'avons la 4G qu'au milieu du jardin, pratique quand on veut utiliser un ordinateur. Et imaginez mes 2 ados qui étaient en pleine révision du bac avec les cours sur ENT, nous qui devions faire passer des documents pour parcoursup et l'orientation de fiston l'an prochain... Bref, nous avons du passer pas mal de soirées dehors ou rester sur nos lieux de travail un peu plus longtemps pour faire partir des mail ou télécharger des documents.

Enfin tout cela pour dire que, pas de TV, pas d'internet, le soir, j'ai lu.... beaucoup... Mais vraiment beaucoup puisque, en plus, depuis quelques semaines, je me réveille souvent vers 4h du matin. Autant vous dire qu'un livre me fait 1 ou 2 jours maximum.

Je vais donc vous mettre une avalanche de livres aujourd'hui. Autant tout vous mettre d'un coup, cela sera moins rude.

On commence, vous êtes prêts? 

LuciaÀ l'université de Salamanque, un groupe d'étudiants en criminologie découvre l'existence d'un tueur passé sous les radars depuis plusieurs décennies et qui met en scène ses victimes en s'inspirant de tableaux de la Renaissance. 
À Madrid, l'enquêtrice Lucia Guerrero trouve son équipier crucifié sur un calvaire et se lance sur les traces de celui que l'on surnomme le " tueur à la colle ".
Tous vont être confrontés à leur propre passé, à leurs terreurs les plus profondes et à une vérité plus abominable que toutes les légendes et tous les mythes. Une nouvelle héroïne aussi attachante que coriace... sur la piste de crimes inouïs 
Les coulisses inquiétantes d'une des plus vieilles universités d'Europe 
Un sommet d'angoisse qui blanchira vos nuits

D’habitude le protagoniste de Minier s’appelle Servaz. Il faut croire que les temps changent puisque maintenant, il s’agit de Lucia (girl power) et qui plus est, elle habite en Espagne.

Enfin tout cela pour dire qu’on reste dans les meurtres sordides. Et je trouve qu’il y a pas mal de référence au Da vinci Code et autres romans de …. dans ce livre :

-          Le passage par un charpente d’église,

-          Des tableaux de la renaissance comme point de départ

-          Beaucoup de symboles

-          Un homme qui tombe du toit (ça pour mémoire il doit plutôt s’agir d’anges et démons… Ma mémoire vacille un peu)

-          Un professeur d’université qui travaille en doublon avec une jeune femme de la police.

Je pense que je pourrais encore aller plus loin. Par contre, la fin n’est pas du tout la même et je ne souhaite pas la spoiler pour ceux qui voudrait lire ce nouvel opus de Minier. Pour ma part, j’avais bien une petite idée dès la moitié du livre (dès qu’on a parlé d’Hypothèse B, j’ai été convaincue du coupable).

Mais comme je ne suis jamais sûre de moi, j’ai lu jusqu’à la fin…. 

la lumière était si parfaiteIl suffit parfois d'un rien pour que la vie s'éclaire !

Comment sa vie a-t-elle pu lui échapper à ce point ? Devenue mère au foyer à la naissance de ses enfants, Megg fait face aujourd'hui à une ado en crise qu'elle ne reconnaît plus. Son mari ne se préoccupe guère des tâches quotidiennes. Et puis le coup de grâce, cette saleté d'infarctus qui fauche sa mère avant l'heure.
Tandis qu'elle se résout à vider la maison de son enfance, Megg déniche une pellicule photo qui l'intrigue, et décide de la faire développer. Rien ne pouvait la préparer à la série de clichés qu'elle découvre alors... Une révélation qui bouleversera sa vie. Partie sur les traces d'un passé maternel dont elle ignore tout, Megg ne se doute pas que c'est son avenir qu'elle est en train de reprendre en main.

Roman feel good, ça c’est certain. Mais bon, trop de bons sentiments encore ici… Et puis toujours la facilité. Quelle femme, mère au foyer, peut partir du jour au lendemain en Bulgarie avec sa fille, dormir dans les plus beaux hôtels, faire des achats dans les meilleures boutiques de Milan… Encore un livre pour faire rêver les ménagères de plus de 50 ans qui ne pourront jamais s’offrir tout cela.

Vous savez, dans le dernier livre que j’ai lu, on parlait de manipulation de masses mais comment voulez-vous que les gens se sentent bien aujourd’hui quand on leur montre que ce qu’ils ne peuvent pas avoir.

Aux jeunes, on ne montre que des jeunes gens beaux (même si pas forcément intelligents) qui vivent dans des villas au soleil, avec piscine, transat… tout ça pour gagner de l’argent.

Et je ne parle pas des You tubeurs qui promettent monts et merveilles et argent facile (sachant que les youtubeurs et influenceurs qui marchent le mieux et durent ont fait souvent de belles études de commerce).

On parle aussi des footballeurs ? Combien d’élèves dans ma classe disent qu’ils veulent être footballeurs ou youtubeurs pour avoir de l’argent, des belles maisons, de belles voitures.

Quant aux plus âgés, on leur propose de la téléréalité présentant de belles maisons que jamais ils ne pourront s’offrir, des livres feel good dans lesquels on leur demande de s’identifier alors que la plupart ne pourront peut-être jamais y parvenir.

Enfin bref, c’était mon petit coup de g… de la journée.

Mais ce livre se lit bien quand même il ne faut pas croire (lol)

Angie, 13 ans, disparueEn camp de vacances, Angie, 13 ans, disparaît… Elle revient chez elle, persuadée de s’être seulement égarée quelques heures. En réalité, trois ans se sont écoulés. Trois ans sans le moindre souvenir, si ce n’est de profondes cicatrices aux chevilles et aux poignets, et une étrange bague à l’annulaire, Des cheveux long avec un peau pale et amaigrie. Tout laisse à penser qu’Angela a vécu l’enfer… Mais que s’est-il réellement passé ? Et pourquoi a-t-elle tout oublié ? Comment se rappeller des évenements quand sa mémoire ne veux pas se rappeller?

 

Alors là, je ne m’attendais pas du tout à cela mais pas du tout…

Lorsque j’ai lu le 4ème de couverture, je m’attendais à un polar tout ce qu’il y a de plus simple.

Mais lorsque j’ai commencé, je me suis rendue compte qu’il y avait bien plus dans ce livre.

Mais reprenons : Angie va à un camp scout. Dans le 1er chapitre, elle veut aller se soulager dans un petit coin de la forêt et tout à coup, elle a peur, elle a l’impression d’être espionnée.

Et le 2eme chapitre commence, elle est dans sa rue. Elle arrive chez ses parents. Elle se demande ce qu’elle fait là alors qu’il y a 30 sec, elle était dans la forêt.

Sauf que voilà, entre les 2 chapitres, 3 ans se sont écoulés et Angie les a totalement oubliés.

On va alors découvrir qu’Angie souffre de TDI. Si vous ne connaissez pas, on en parle beaucoup en ce moment. Les gens qui ont souffrent ont plusieurs personnalités bien distinctes dans leur tête et chacune de ces personnalités ou alters peut prendre la place des autres en «switchant ».

En règle générale ces alters sont apparus lorsque la personne a subi un gros traumatisme, pour se protéger. Et lorsque les alters prennent le dessus, la personne hôte oublie ce qui se passe puisque ce n’est pas elle qui le vit mais son alter.

Pour plus d’information, vous pouvez écouter Olympe ici !

En clair, ce livre raconte la suite de l’enlèvement d’Angie mais aussi tout ce qu’elle découvre sur elle. Intéressant mais également très angoissant pour ceux qui doivent vivre cette situation et qui sont souvent montrés du doigt comme « anormaux » alors qu’ils sont devenus ainsi à la suite d’un traumatisme et qu’il faudrait surtout regarder comme anormaux ceux qui leur ont fait subir ce traumatisme.

comment (bien) rater ses vacancesOn y découvre son héros, Maxime Mainard, impertinent adolescent de 17 ans. Pour échapper aux vacances en famille, il a choisi de les passer avec sa grand-mère, dans son pavillon du Kremlin-Bicêtre. Il avait tout prévu pour couler des jours tranquilles devant son ordi... sauf la crise cardiaque de sa grand-mère. Les vacances vont se transformer en feuilleton délirant ! 

Je pense que ce livre s’adresse plus à des ados mais j’ai bien souri en suivant les pérégrinations de ce jeune de 17 ans qui décide d’aller en vacances chez sa grand-mère et se retrouve à devoir tout gérer. Imaginez qu’il pense manger des oignons trouvés dans le cellier alors que ce sont des bulbes de tulipe. Mais pas facile à 17 ans de devoir tout faire seul quand sa grand-mère (chez qui on habitait) se retrouve à l’hôpital sans rien pouvoir gérer, que ses parents sont perdus sur le GR20 en Corse et donc injoignables et que sa petite sœur est en colonie de vacances et qu’il ne faut pas l’affoler.

Un petit roman facile et rapide à lire qui m’a fait passer un bon moment.

Hope, nos espérancesLondres, années 1990. Hannah, Cate et Lissa sont trois jeunes amies ambitieuses et inséparables, portées par le vent de rébellion qui souffle sur le monde. Mais les années passent et, à trente-cinq ans, aucune ne se sent accomplie et chacune jalouse ce que les deux autres semblent posséder : mariage, carrière ou indépendance. Qu'est-il arrivé aux femmes qu'elles pensaient devenir ?Avec subtilité, l'autrice de La salle de bal explore l'interstice entre les espérances et la réalité, cet espace fait de rêves, de désirs et de douleurs où se joue toute vie.

3 filles ; Cate,Lissa et Hanna. Elles se rencontrent sur les bancs de la fac, deviennent amies, ont des rêves en commun.

Cate veut sauver la planète, Lissa veut devenir une grande actrice, quant à Hanna, elle veut devenir quelqu’un.

Seulement voilà, le destin les rattrape : Cate tombe enceinte alors que ce n’était pas spécialement prévue et doit se résoudre à abandonner tout ce qui ne tourne pas autour de sa maison (tout en ayant cela en horreur), Lissa doit se contenter de tourner des publicités pour joindre les 2 bouts et Hanna bien qu’ayant réussi n’arrive pas à concevoir l’enfant qu’elle désire plus que tout au monde.

Entre 35 et 40 ans, leurs vies vont s’entrechoquer, elles vont s’aimer, se détester…

Ce livre ce sont toutes ces histoires de femmes qui vivent ce que d’autres peuvent vivre au quotidien. Il n’est pas transcendant mais se lit bien.

des profondeurs, je crie vers toiAndy, un jeune garçon de dix ans, tente de tracer son chemin aux côtés de sa mère Sarah, et Mouchy, voisine complice qui veille sagement sur eux. Un beau tableau de famille, s’il n’y avait la présence de Fred, un beau-père alcoolique, drogué et narcissique, qui leur fait vivre un enfer. Un matin d’hiver, un drame se produit et Andy plonge dans un coma indécis.
C’est là que tout débute…
Y a-t-il un lien avec les affaires de Patrice et Esther, deux enfants qui ont vécu des expériences similaires il y a presque cinquante ans ? Qui est ce mystérieux voisin qui emménage dans une propriété énigmatique peu après cet accident ?
Si Dieu peut entendre nos prières, le Diable peut-il y répondre ?

Ce livre est un prix sang pour sang 2022, je m’attendais donc à un polar mais pas tout à fait.

L’histoire débute dans une famille ; la mère Sarah a été abandonnée par son ex compagnon alors qu’elle était enceinte de son fils Andy.

Elle va se retrouver prise dans les filets d’un prédateur, un homme violent psychologiquement, voir physiquement. Je me suis dit pauvre famille, pauvre histoire mais où est le polar ?

Et puis le fils tombe dans une rivière et se retrouve dans le coma. Là je me suis demandée où l’auteur souhaitait nous emmener.

Et la suite m’a totalement décontenancée. Je me suis retrouvée dans un roman noir mais ésotérique également. Le bourreau devenu proie mais qui tire les ficelles ? (comme le dirait le 4ème de couverture, Dieu ou le Diable).

A vous de voir…

la chronique des bridgerton 5 et 6Depuis que sa meilleure amie, Pénélope Featherington, a convolé en justes noces, Éloïse, la rebelle de la fratrie Bridgerton, s'interroge : les commères n'auraient-elles pas raison de prétendre qu'elle ne trouvera pas de mari ? Oh, elle en a reçu des propositions au fil des ans ! Elle les a toutes refusées, sous prétexte que ses prétendants n'étaient pas... parfaits. Une exigence ridicule, bien sûr.Inquiète à l'idée qu'il ne soit déjà trop tard, Éloïse reçoit à point nommé une invitation de la part de sir Phillip Crane, un veuf avec qui elle entretient une relation épistolaire. La proposition est d'autant plus audacieuse qu'il envisagerait de se remarier... Sans en souffler mot à quiconque, elle décide de se rendre chez cet homme qu'elle n'a jamais rencontré.De son côté, sa soeur Francesca file le parfait amour avec son mari, le comte de Kilmartin, dans leur château en Écosse. Elle n'imagine pas qu'un événement inconcevable va bouleverser le cours de sa vie, pour le pire et pour le meilleur.

Revoilà les Bridgerton. J’ai commencé la série, je ne peux pas ne pas lire la suite.

Dans le 5, nous retrouvons cette fois-ci Eloise (au cas où vous ne le sauriez pas, les enfants Bridgerton ont été nommés dans l’ordre : Antony, Bénédict, Colin, Daphné et donc Eloise et Francesca pour ces 2 tomes).

Eloise a vu sa meilleure amie se marier dans le tome 4. Elle qui pensait qu’elle finirait leurs vies de vieilles filles ensemble (oui, à 28 ans, elles sont vieilles filles !) se retrouve bien seule.

Une cousine à elle vient de mourir, elle envoie ses condoléances au veuf.

De cette 1ère lettre vont en découler plusieurs sur une année. Au bout d’un an le veuf éploré, père de 2 insupportables enfants (au début bien sûr, ils vont se calmer par la suite), va lui proposer, par lettre, d’envisager peut-être de l’épouser…

A votre avis que va faire Eloise ? Bien sûr, elle va aller chez lui !! Et sans chaperon en plus.

Tout le monde ferait cela n’est-ce pas ? C’est limite du « adopteunmec.com » cette histoire : je pense que cela représente la société actuelle où tout est virtuelle. D’ailleurs, regardez l’émission de la 6 dont je ne me souviens plus trop du nom… Et si on se rencontre ou un truc du genre. Je suis tombée dessus un soir… On se parle pendant des mois via le net et d’un coup, pof, on se rencontre et plus si affinités. C’est exactement ce qu’à fait Eloise. Sauf qu’à l’époque, il faut bien le dire, les messages mettaient bien plus longtemps à arriver et ils étaient tout de même mieux écrits.

Enfin tout cela pour vous dire que bien sûr, comme dans toute histoire des Bridgerton, elle va « passer à la casserole », on s’en doutait un peu, avec moults détails sinon ce ne serait pas la suite des autres épisodes de Julia Quinn.

Dans le n°6, on suit cette fois-ci les tribulations de la pauvre Francesca. Je dis bien pauvre car elle va perdre son mari, au bout de 2 ans de mariage. Un soir, il a mal à la tête et pof, il meurt ! ( A l’époque on ne savait pas ce qu’était une rupture d’anévrisme).

Le cousin de son mari, lui, aime Francesca en secret. Mais voilà, il ne veut pas nuire à sa réputation, ni faire ça à son cousin même mort. Alors il part, pendant 4 ans, aux Indes.

Il revient avec la malaria, il aime toujours Francesca, elle va le soigner et bien sûr, que va-t-il se passer ? je vous le donne en mille… Oh et puis non, devinez tous seuls.  Et ils vécurent heureux, et patati et patata…

J’ai l’impression un peu de tourner en rond avec cette saga surtout que plus ça avance, plus je trouve les histoires tirées par les cheveux. J’ai l’impression que l’auteur n’a plus beaucoup d’idées et invente vraiment n’importe quoi.

Enfin il en reste 2 : Gregory et Hyacinthe, je les lirai tout de même, ce serait navrant de ne pas écouter les plus jeunes.

celle qui marche la nuitMalo, 15 ans, déménage, et doit quitter à regret son quotidien parisien. Aussitôt installé dans le sud de la France, il est gagné par l’angoisse. La Maison des Pins, isolée au milieu des bois, semble tout métamorphoser. Les parents de Malo sont absorbés par les travaux de rénovation, Jeanne, sa petite sœur, se réveille en hurlant, parle aux murs et s’est liée d’amitié avec une jeune fille… qu’elle est la seule à voir. Lorsque Malo découvre une vieille cassette audio, vestige d’un passé qui exige de refaire surface, l’adolescent décide de percer, coûte que coûte, le terrible secret qui hante la demeure.

Encore un roman ado. Mais actuellement ma médiathèque les mélange aux romans adultes, allez savoir pourquoi…

Malo, 15 ans, a perdu sa mère à 6 ans, son père s’est remarié et il a une ½ sœur de 5 ans. Sa famille quitte Paris pour un coin perdu aux milieux des bois et là, il se sent oppressé comme si quelque chose s’était passé dans cette maison.

Sa petite sœur se réveille en hurlant au milieu de la nuit, elle parle à une amie imaginaire, Pauline…

Malo va partir en chasse de cette Pauline : qui est-elle ? Pourquoi essaye-t-elle de parler à sa sœur ? Quel est son secret ? Comment est-elle morte (puisque vous l’avez bien compris, Pauline est un « fantôme ») ?

Alors c’est un roman un peu mélange de 6eme sens, S. King et Psychose mais comme c’est pour ado, ça ne fait pas super peur non plus. Mais ça se lit bien et vite (c’est écrit gros et il n’y a que 240 pages environ). Donc une soirée, et terminé !

une si longue haineCharlotte s'était juré de ne jamais revenir à Sarlat. Mais comment refuser un dernier adieu à Louise, celle qui l'a élevée comme une mère ? Cela fait vingt-huit ans que Charlotte tente d'oublier le drame qui l'a obligée à fuir. Et s'il était temps, enfin, d'affronter le passé ?
Charlotte est une femme d'aujourd'hui, la quarantaine attachante. Elle jongle entre sa fille de douze ans, dont elle assure la garde partagée depuis son divorce, et sa librairie à Arles.
Une lettre bouleversante de sa tante Louise, malade, fait tout vaciller. Comment refuser une dernière visite à celle qui fut comme une seconde mère ? Mais Charlotte n'a pas revu sa famille depuis ses quinze ans, en 1993. À l'idée de retrouver " les siens ", elle a l'impression de se précipiter dans un traquenard. Car en plus de ses proches, c'est son passé, la tragédie étouffée de son adolescence, qu'elle doit aussi affronter. Seule, ou presque, contre tous.

A la lecture du 4eme de couverture, je me suis dit « pourquoi pas ? »

Et puis je l’ai lu parce que je l’avais commencé mais franchement, rien de bien transcendant… Encore une fois une famille qui se déchire, de l’amour, de la tendresse, peut-être trop… je ne sais pas mais je n’ai pas accroché. Je l’ai posé et vite rendu !

Au suivant….

Voilà: 9 livres!!! 

Je crois qu'il va falloir que je lève un peu le pied, surtout qu'il faudrait peut-être reprendre un peu les aiguilles mais j'ai aussi pas mal de lecture pour le travail et là ce sera moins "drôle".

J'espère que cela vous aura donné envie d'en lire au moins 1.

Sur ce, je vous laisse, passez une belle soirée et à bientôt!

L'antre des Fées
Publicité
Derniers commentaires
Newsletter
Archives
Publicité