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L'antre des Fées
19 mars 2023

je ne m'attendais pas à cela

Bonjour, 

Quand je vous disais que j'allais revenir très vite. Il faut dire que le nouveau livre entamé hier soir ne faisait que 250 pages. Autant vous dire qu'il a été avalé entre hier soir et ce matin (surtout que j'attends avec impatience le changement d'heure car depuis plusieurs semaines, mon horloge interne me réveille à 5h du matin!).

Ce qui m'avait attiré en 1er dans ce livre, c'était sa couverture. Je suis sûre que si vous êtes comme moi, adeptes des rayons librairie, vous n'avez pas manqué de la remarquer, elle brille de mille feux. Et je m'étais dit qu'il fallait que je l'ai entre les mains.

la crue

Ensuite j'ai lu le 4ème de couverture: 

Pâques 1919, alors que les flots menaçant Perdido submergent cette petite ville du nord de l'Alabama, un clan de riches propriétaires terriens, les Caskey, doivent faire face aux avaries de leurs scieries, à la perte de leur bois et aux incalculables dégâts provoqués par l'implacable crue de la rivière Blackwater.

Menés par Mary-Love, la puissante matriarche aux mille tours, et par Oscar, son fils dévoué, les Caskey s'apprêtent à se relever… mais c'est sans compter l'arrivée, aussi soudaine que mystérieuse, d'une séduisante étrangère, Elinor Dammert, jeune femme au passé trouble, dont le seul dessein semble être de vouloir conquérir sa place parmi les Caskey.

En lisant ces quelques lignes, je m'attendais à une saga familiale classique avec ses amours, ses trahisons, ses naissances, ses mariages. Du "Dallas" revisité en quelque sorte. 

Et bien.... pas du tout. Enfin si un peu mais pas trop quand même. Je ne veux pas trop vous en dévoiler pour ne pas spoiler ceux qui liront cette série. Tout ce que je peux vous révéler c'est ce que j'ai appris sur l'auteur. 

Vous me direz, j'aurais été sur le site A...zon, j'aurais vite compris que je ne devais pas m'attendre à autre chose qu'à ce que j'y ai trouvé car voilà ce qui est dit sur ce livre: 

Au-delà des manipulations et des rebondissements, de l'amour et de la haine, Michael McDowell (1950-1999), ¬co-créateur des mythiques Beetlejuice et L'Étrange Noël de Monsieur Jack, et auteur d'une trentaine de livres, réussit avec Blackwater à bâtir une saga en six romans aussi ¬addictive qu'une série Netflix, baignée d'une atmosphère unique et fascinante digne de Stephen King.

Découvrez le premier épisode de Blackwater, une saga matriarcale avec une touche de surnaturel et un soupçon d'horreur.

Pour la petite info supplémentaire, cette série a été écrite dans les années 80 mais la nouvelle couverture l'a fait redécouvrir du grand public. Et son auteur qui est décédé depuis a été celui qui a inspiré S. King pour "La ligne verte". 

Autant vous dire que certains passages sont un peu, beaucoup fantastiques, voir un peu horreur (on a quand même une tête arrachée par un tronc d'arbres, des bijoux qui tombent sans raison d'un plafond, des portes qui se ferment toutes seules...). A la 150ème page, je me croyais dans l'histoire du Père Tire bras (pour ceux qui ne connaissent pas, c'est un petit roman pour enfants. Et vous pouvez trouver le tapuscrit complet sur internet).

A la fin je suis un peu dubitative. Je sais que cette série plait beaucoup mais pour ma part je n'arrive pas à la situer: saga? livre fantastique? pour adultes? pour ados (car je la trouve très simple à certains moments).

Son auteur disait qu'il était un auteur commercial. Je crois qu'il avait un peu raison. Je vais tout de même tenter de lire la suite, de toute façon, je ne suis pas à une soirée de lecture près. 

Bonne journée et à bientôt

 

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