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L'antre des Fées

11 août 2019

On continue les livres?

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Bonjour, 

Alors toujours là? Aujourd'hui on continue avec de la lecture, alors, si cela ne vous plait pas, passez votre chemin pour ce message et pas d'inquiétude, il y aura "bientôt" autre chose à vous mettre sous la dent.

Qui se méfierait de Luce et de Chirine, deux vieilles dames aux airs de respectables grands-mères ? Pourtant, à 80 ans, elles viennent de commettre un meurtre, l'air de rien... Mais pourquoi ? Pour qui ? 
Tandis que Chirine se retranche dans le mystère, Luce déroule ses mille vies, comme si elle avait attendu ce moment depuis des années...
Une comédie sensible et attachante, où Nicole Jamet, co-scénariste entre autres, de la série Dolmen, dénonce la cruauté de notre société et fait l'éloge de la liberté.

Lorsque j'ai lu le résumé de ce livre, je me suis dit "chouette, on va rire". Je m'attendais à trouver un style proche de Barbara Constantine... Et bien pas du tout. D'ailleurs le livre commence durant la seconde guerre mondiale, autant vous dire que ce n'est pas très drôle. Mais j'ai tout de même voulu le terminer pour savoir pourquoi Luce voulait tellement aller en prison, Pourquoi Chirine était tout le temps à chipoter pour tout... Bref, la fin n'est pas plus drôle que le début et on apprend de belles sur Chirine. Note: 12/20 (pouvait mieux faire) 

Ce soir, Nine, seize ans, n'ira pas à la fête de son lycée.Titania, sa mère, en a décidé autrement. Elle embarque sa fille vers une destination inconnue,une cabane isolée, au bord d'un lac.Il est temps pour elle de lui révéler l'existence d'un passé soigneusement caché. Commence alors une nuit entière de révélations...Qui sont Octo, Orion et Rose-Aimé ? A qui appartient cette mystérieuse cabane ? Et ce vélo rouge, posé sous l'escalier ?Au fil d'un récit souvent drôle, parfois tragique et bouleversant, Nine découvre un étonnant roman familial.Quand l'aube se lèvera sur le lac, plus rien ne sera comme avant.

Ce livre est normalement prévu pour des ados mais vous me connaissez, rien de m'arrête en matière de lecture. Alors je l'ai commencé et j'avoue que j'ai bien aimé. On a envie de savoir quel est ce grand mystère que cache la mère de Nine. Mais il va se réveler plus tortueux que prévu. Après, j'avoue, le côté, on a tout perdu mais malgré cela on devient les meilleurs (soit un grand artiste, soit un grand sportif ou autre) cela peut énerver. Vous avez déjà remarqué comme, dans les livres, à chaque fois, les héros ou héroines s'en sortent toujours relativement bien: ils vivent le grand amour de leur vie, deviennent des gens importants, riches, beaux, célèbres. Il faudrait peut-être que les auteurs redescendent un peu sur terre. Oui mais alors, question existencielle: aurait-on autant envie de lire les livres?? Bref, en attendant, un bon livre à lire ou à faire lire à vos ados pour les changer un peu des fantaisy. Note : 14/20.

Neuf jours. C'est ce qu'il reste à vivre à Mia Hayes, surnommée affectueusement " Rabbit ". Neuf jours, après plusieurs mois de combat – parce que Rabbit est une battante, une Irlandaise bien trempée.
À son chevet, famille et proches se relaient en un joyeux ballet de souvenirs. Entre silences, gaffes et fous rires, toute la vie de Rabbit ressurgit alors : l'enfance, l'adolescence, Johnny son grand amour, et Juliet, sa fille de 12 ans – une certaine idée du bonheur... Au fil des jours, tous s'interrogent sur leur vie et accompagnent Rabbit dans un voyage émotionnel d'une grande intensité. Quel meilleur bagage pour partir vers la lumière ?

Comme me l'a dit mon mari en lisant le résumé: "tu devrais éviter ce genre de livre, ça fait déprimer". Et bien non, au contraire parce que ce livre parle peu de la mort (bien sur elle est omniprésente vu que Rabbit est sur le point de déceder) mais l'histoire est surtout centrée sur la jeunesse de Rabbit et ce qu'elle est devenue aujourd'hui. Bref une jolie histoire pour nous rappeler cependant que la vie est courte et qu'il faut en profiter. Note : 15/20.

Dix années s'étaient écoulées et elle n'avait pas changé... Elle émergea tout entière de sa mémoire dans ce hall des arrivées de l'aéroport de Miami, la fille à laquelle il essayait de ne pas penser, la fille à laquelle il pensait tout le temps. Emily... Elle se tourna dans sa direction, croisa son regard, s'immobilisa. Il vit qu'elle se figeait comme il s'était figé, ses yeux s'agrandirent, ses lèvres s'entrouvrirent... S'étant retrouvés ce jour-là, après une cruelle séparation, ils ne se quitteront plus. Et quarante-trois ans après, Robbie fête ses quatre-vingts ans, entouré de sa si jolie famille, un fils, des petits-enfants, un amour sans faille pour son Emily, son inséparable... Mais pas un amour sans ombres. On va découvrir qu'en fait, ils ne se sont jamais mariés. Pourquoi ? Que leur fils - qui l'ignore - a été adopté dans des conditions plus que troubles. Pourquoi ? Qu'ils avaient chacun eu une autre vie, autrefois, et ont dû rompre avec leur passé et leurs familles. Pourquoi ? En remontant dans le temps, on découvrira alors le lourd, l'incroyable secret de Robbie et Emily

Ce livre a une originalité, il commence par la fin. Robbie et Emilie sont vieux, Robbie souffre d'Altzheimer (on va voir qu'il va le vivre d'ailleurs très difficilement dès le début du livre). Il a peur de divulguer leur secret ou leurS secretS. Alors le livre va remonter en arrière, 10 années par 10 années et chaque fois que l'on croit avoir compris quel est ce secret, on retourne encore en arrière pour se rendre compte que le plus gros secret, c'est celui que l'on découvrira dans les dernières pages. Après d'accord ou pas d'accord avec leur façon de voir la vie, il n'en reste pas moins un beau roman d'amour et de passion. Note : 16/20

Un parfum de fleur d'oranger (Terres de France) par [LAPORTE, Gilles]A ceux qu'il rencontre sur sa route depuis l'Italie, Valturno Palazzi aime à dire qu'il est " tailleur de pierre, maçon, simple ouvrier qui, de ses mains, veut créer du beau et du bon dans ce monde ". Un heureux hasard conduit l'exilé chez la belle Malou qui tient seule le Café des Lilas dans un village des Vosges. Son mari, Albert, a été assassiné. Un meurtre non élucidé, qui n'en finit pas de la hanter : en lettres anonymes, le nom de Mostaganem, lui revient telle une menace. C'est à Paris, lors de l'Exposition universelle de 1889, que Valturno fait le vœu de créer son entreprise de maçonnerie, de taille de pierre et de construction. Sa réussite sera fulgurante. En quelques années, Valturno s'épanouit dans cette Lorraine devenue sienne. Quand, un jour de 1895, un enfant de dix ans arrive subitement dans sa vie et ravive le souvenir de cette femme tant aimée, là-bas, " vers son Sud ", commence entre le petit Victor et Valturno une jolie passation de savoirs et de connaissances...

Avant d'émigrer dans l'Ain puis en Isère, j'ai vécu longtemps en région Alsace Lorraine et je suis native des Vosges. C'est vous dire si ce livre m'a interpellé lorsque j'ai lu le résumé... Le début était bien, j'ai d'ailleurs appris pas mal de choses (vous saviez que l'acier de la Tour Eiffel provient des Vosges et que le père de Victor Hugo était Lorrain?). Au bout de quelques centaines de pages, j'ai commencé à trouver cela long, très long. Alors je l'ai fini pour savoir comment l'histoire se terminait mais j'avoue rien de bien transcendant pour moi dans ce roman. Note: 10/20 (pour le fait d'avoir appris des choses sur ma région natale)

Voilà ce sera tout pour aujourd'hui, passez un bon dimanche et à bientôt! 

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6 août 2019

Presque 1 par jour....

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Bonjour, 

Comment allez vous en ce début de mois d'août?

Aujourd'hui comme vous vous en doutez, c'est encore de lecture que je viens vous parler. Et comme le titre l'indique, il va y en avoir beaucoup (mais je ne vous montrerai pas tout en une fois, cela ferait trop). En effet, je lis quasiment un livre par jour en ce moment. Certains vont me dire "mais tu n'as que ça à faire?" Bien, quand votre dos fait encore des siennes et que vous vous retrouvez le plus souvent allongée, j'avoue qu'il ne me reste pas grand chose d'autre. Et puis ma médiathèque a eu la bonne idée de me prêter une liseuse pour les vacances (pour tester). Alors j'avoue que je préfère mes livres papiers mais la liseuse a l'avantage d'être très légère et puis, dedans, il y a environ 130 livres... Ca permet de voir venir et d'essayer des ouvrages qui je l'avoue, ne m'aurait pas forcément tenté si je les avais croisés au détour d'une étagère. 

Alors on commence? Je vous en mets combien aujourd'hui? 3-4? Allez 5 maxi et on verra dans les jours qui viennent pour la suite.

Pour commencer 

À Paris, au Moyen Âge, un bâtiment singulier borde la rue de l’Ave Maria, dans le Marais : le grand béguinage royal, fondé par saint Louis. Dans ses murs, vit une communauté de femmes hors normes. Veuves ou célibataires, nobles ou ouvrières, elles peuvent étudier, travailler, circuler librement dans la cité. Mais en 1310, la sérénité du béguinage est troublée par l’exécution en place de Grève de Marguerite Porete, une béguine de Valenciennes brûlée vive pour avoir écrit un livre qui compromet l’ordre établi… C’est là que commence le roman, alors que le royaume de Philippe le Bel amorce son déclin et que les persécutions contre les Templiers se multiplient. Ysabel, responsable de l’hôpital, vit là depuis vingt ans lorsque la jeune et rousse Maheut s’y réfugie. Celle-ci fuit des noces imposées par son frère, et la traque d’un inquiétant moine franciscain. Son arrivée est mal accueillie par la majorité des femmes du clos : les cheveux roux ne sont-ils pas l’oeuvre du Diable ? Dame Ade, qui aspire à se tenir en retrait du monde depuis la mort de son mari, regarde elle aussi avec méfiance la nouvelle venue. Ysabel est obligée de cacher sa protégée ailleurs dans la cité… Ce n’est que le début d’un saisissant suspense qui nous emmène dans une époque charnière d’une étonnante actualité.

 

Je ne connaissais pas du tout ces "beguines". Ce livre m'a permis de découvrir leur histoire. Pour le reste du livre, une histoire à suivre mais rien de transcendant si l'on n'aime pas le côté historique. Allez je lui mets 12/20...

« Avec le développement de l’information santé sur internet et dans tous les médias, l’hypocondrie se porte bien !
Inconvénient : elle déverse des tombereaux d’anxiété sur toutes celles et tous ceux qui veulent vivre mieux et le plus longtemps possible. On est tenté de penser au pire au moindre pépin. Dans l’immense majorité des cas, on se trompe. Et mon expérience de médecin me le prouve : il suffit de se pencher avec un peu de sérieux sur les symptômes que présente le patient pour, très souvent, constater qu’il a surinterprété les choses.
Ce livre, je l’ai écrit pour vous rassurer, vous convaincre que ce dont vous souffrez n’est peut-être pas si grave, vous dire que oui, vous allez mourir, mais pas forcément tout de suite !
Je ne prétends pas rivaliser avec Molière et son inoubliable Malade imaginaire mais, vous verrez, le décalage qui existe entre vos craintes et la réalité est parfois assez cocasse… »
  M. C.

Alors là j'avoue, il y a certaines personnes à qui j'adorerais offrir ce livre. Déjà Michel Cymes a une façon bien particulière de nous livrer ses secrets mais il a l'art de nous expliquer que tout ce qui nous fait peur ne le devrait pas. Non, non, vous n'avez pas de tumeur, non vous n'êtes pas atteint de folie ou d'Altzheimer, en tout cas pas encore... Bref, si vous voulez rire de vos petits bobos, lisez ce livre. Et pour certains, je suis sur que cela les rassurera vraiment. Note: 18/20!

De retour dans les Cotswolds après de longues vacances, Agatha Raisin découvre que son voisin James Lacey, objet de tous ses fantasmes, est tombé sous le charme d'une nouvelle venue au village. Aussi élégante qu'amusante, Mary Fortune est une jardinière hors pair, et la journée portes ouvertes des jardins de Carsely s'annonce déjà comme son triomphe. Mais une Agatha Raisin ne s'incline pas avant d'avoir combattu (quitte à se livrer à l'une de ces petites supercheries peu reluisantes dont elle a le secret) !
C'est alors que la belle Mary est retrouvée morte, enfoncée tête la première dans un de ses grands pots de fleurs. De toute évidence, Agatha n'était pas la seule à souhaiter la disparition de sa rivale...

Agatha Raisin, je connais, j'en ai déjà lu plusieurs. Je sais que cela ne va pas être de la grande littérature mais qu'au moins, cela aura le mérite de me faire passer le temps sans m'ennuyer. Donc si vous ne connaissez pas, vous pouvez tenter, mais ne vous attendez tout de même pas à du Agatha Christy. Note 14/20 (pas pour le niveau mais parce qu'on sait ce qu'on cherche)

Laura se pose beaucoup de questions. Comment réussir sa vie ? Est-il possible de manger tout ce que l'on aime sans prendre dix kilos ? Comment trouver l'amour ? Trop de doutes pour être heureuse, trop d'envies pour se contenter du banal... Jusqu'au jour où un accident va complètement effacer sa mémoire. La voilà à nouveau débutante face à la vie, obligée de tout redécouvrir : les bonbons, les soutiens-gorges, les garçons, l'électricité et les lois qui gouvernent l'Univers... Libérée des a priori, portée par un coeur affamé et un cerveau qui se cherche, Laura entame une aventure unique et hilarante. En ne sachant plus rien, elle a peut-être enfin une chance de devenir elle-même... Gilles Legardinier confirme brillamment qu il n'a pas son pareil pour allier le rire à l'émotion. Qui n'a jamais rêvé de tout oublier pour recommencer ? Attention : les scènes de cette comédie sont vécues par des non-professionnels, il est vivement conseillé de les reproduire chez vous !

Legardinier j'aime bien! On ne se prend pas la tête lorsque l'on lit ses livres et celui là, j'ai beaucoup apprécié. Il est drôle et pétillant et permet de passer un très bon moment. Laura est tombé d'un poney et depuis a perdu la mémoire mais toute la mémoire, elle ne se rappelle pas des gens mais pas non plus de tout ce qui est important dans la vie. Si! Elle se souvient que les bonbons c'est bien meilleur que les haricots verts et qu'il faut surtout profiter de chaque moment et ne pas se prendre la tête. Et puis un inconnu va lui avouer son amour et là on cherche, on attend de savoir qui est ce parfait inconnu. Bref, un bon livre à mettre dans sa valise de vacances. Note : 15/20

Mystérieusement abandonnée chez des paysans cévenols, la petite Elise y a vécu l'enfer. Fruit d'un amour sincère, née sous l'Occupation, elle veut retrouver son père et rendre à sa mère sa dignité bafouée...

En 1956, Adèle Gensac occupe son premier poste d'institutrice à Saint-Jean-du-Gard, au cœur des Cévennes. Parmi ses élèves, l'une se distingue : Elise, dix ans, aux yeux pleins de douceur, brillante mais muette. Et née de père inconnu. Une double singularité que sa mère, Lucie Rochefort, malgré les ragots et les médisances, assume au regard de tous. Au fil du temps, une connivence s'établit entre Adèle et Lucie. Ne montrent-elles pas toutes deux une indépendance d'esprit et d'action rare pour l'époque ?
Un jour, l'institutrice se voit confier le journal intime d'Elise qui y a consigné ses plus lointains souvenirs. Terribles. Violents. Douloureux. Que sa mère, elle-même, ignorait...
Quel mystère entoure la naissance d'Elise ? Quelle est la véritable histoire de Lucie Rochefort ?
Adèle tiendra-t-elle la promesse faite à Elise pour qu'enfin s'apaisent les tourments du passé ?

A la lecture du résumé du livre, je me suis dit que cela pouvait être intéressant. Déjà cela parlait d'une enseignante et j'aime bien lire des livres sur mon mêtier... Mais après les 100 premières pages, je me suis lassée. C'est long, très long, trop long. Il y a trop de détails. Bref, j'ai voulu savoir la fin mais je n'y arrivais plus alors j'avoue, arrivée à la 250ème page, j'ai lu en diagonale. Et la fin, moui, bon, bof... On n'y croit pas trop... Cela parait tellement surfait. Bref, je ne le recommande pas. Note 6/20.

Voilà je m'arrête pour aujourd'hui, cela en fait déjà beaucoup. 

Sur ce, je vous quitte, passez une belle journée et à bientôt!

16 juillet 2019

Pour ne pas oublier ses clés

Bonjour, 

Oulà que de retard pour cet article mais il faut dire qu'entre la fin de l'année scolaire, les inscriptions ou réinscriptions à faire, Lilofé junior qui a eu la bonne idée de se casser le pied et le reste, je n'ai pas encore eu le temps de vous montrer mes nouveaux "bricolages".

La fille d'une amie a, comme Lilofé junior et moi-même, une "passion" pour les Gorjuss. 

Sa mère voulait lui trouver un porte clé pour son anniversaire. Mais voilà, alors que Cultura vendait nombres d'articles sur ce thème les années auparavant, il est difficile aujourd'hui d'en trouver en rayon. 

Mais souvenez-vous qu'il y a quelques temps, j'avais trouvé du tissu gorjuss chez Icréatiss à Morestel. Alors j'y suis retourné et j'ai trouvé du tissu avec des ronds de gorjuss (petits ou grands)

Alors dans l'ordre:

 - j'ai découpé avec une forme un peu ovoïde,
 - j'ai molettoné,
 - j'ai quilté pour rendre l'effet plus intéressant, 
 - j'ai cousu 2 côtés ensemble, 
 - et j'ai rajouté un oeillet...

Le résultat est assez sympa je trouve (même si je dois encore m'améliorer dans les arrondis pour la couture):

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Et puis, comme la petite fille en question a une soeur, je me suis dit que pour ne pas faire de jalouse, j'allais en réaliser un 2ème: 

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Et tant qu'à quilter, j'en ai fait un troisième qui a été offert à une amie de Lilofé Junior et qui avait la "chance" d'être à la maison ce jour là. (il faudra donc que j'en refasse peut-être)

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Alors qu'en pensez-vous de mes porte clés? Même s'ils ne sont pas parfaitement ronds, ils ont été bien appréciés et c'est le principal.

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Sur ce, je vous quitte, passez une belle fin de journée et à bientôt!

16 juillet 2019

Encore 2...

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Bonjour, 

Aujourd'hui encore 2 livres de terminés et en fait, sans m'en rendre compte, j'ai choisi 2 livres qui parlent de la même époque.

Le premier: 

1943. Reclus dans son quartier général en Prusse orientale, terrorisé à l'idée que l'on attente à sa vie, Hitler a fait recruter des goûteuses. Parmi elles, Rosa.Quand les S.S. lui ordonnent de porter une cuillerée à sa bouche, Rosa s'exécute, la peur au ventre : chaque bouchée est peut-être la dernière. Mais elle doit affronter une autre guerre entre les murs de ce réfectoire : considérée comme « l'étrangère », Rosa, qui vient de Berlin, est en butte à l'hostilité de ses compagnes, dont Elfriede, personnalité aussi charismatique qu'autoritaire.Pourtant, la réalité est la même pour toutes : consentir à leur rôle, c'est à la fois vouloir survivre et accepter l'idée de mourir.
Couronné en Italie par le prestigieux prix Campiello, ce roman saisissant est inspiré de l'histoire vraie de Margot Wölk. Rosella Postorino signe un texte envoûtant qui, en explorant l'ambiguïté des relations, interroge ce que signifie être et rester humain.

Je suis restée un peu mitigée à la fin de la lecture de ce livre. Je m'attendais à un ouvrage du style "La voleuse de livres" (d'ailleurs si vous ne l'avez pas encore lu, celui-ci je vous le conseille!). 

Le début était assez intéressant, la mise en place de l'intrigue, les difficultés pour celles qui sont choisies et qui ne savent pas, après avoir mangé la première cuillère si elles seront encore vivantes dans quelques heures. 

Et puis cela devient long, plus centré sur une histoire d'amour (mais je ne vais pas trop vous en dire) que sur le côté historique. Bref, pour un livre sur des gouteuses, je suis un peu restée sur ma faim. (oui, je sais le jeu de mot était bien trouvé!)

Le deuxième, je l'avais choisi pour son auteur que j'adore. Et je n'ai pas été déçu. Pourtant ce n'était pas du policier mais comme d'habitude, Oslen nous tient en haleine tout le long (notamment dans la 2ème partie).

Par contre, attention, âmes sensibles s'abstenir vu que certains passages sont tout de même un peu durs. 

L'Unité Alphabet est le service psychiatrique d'un hôpital militaire où, pendant la Seconde Guerre mondiale, les médecins allemands infligeaient d'atroces traitements à leurs cobayes, pour la plupart des officiers SS blessés sur le front de l'Est.
Bryan, pilote de la RAF, y a survécu sous une identité allemande en simulant la folie. Trente ans ont passé mais, chaque jour, il revit ce cauchemar et repense à James, son ami et copilote, qu'il a abandonné à l'Unité Alphabet et qu'il n'a jamais retrouvé. En 1972, à l'occasion des jeux Olympiques de Munich, Bryan décide de repartir sur ses traces. Sans imaginer que sa quête va réveiller les démons d'un passé plus présent que jamais.

Le premier roman de Jussi Adler Olsen, l'auteur de la célèbre série du Département V, où éclatait déjà le talent de ce maître du thriller scandinave.

Toute la première partie à savoir les 270 premières pages se passent durant la seconde guerre mondiale. Alors que d'après le 4ème de couverture, je m'attendais à me retrouver de suite dans les années 70 mais non, on vit avec James et Bryan leur enfer dans l'hôpital militaire où ils se retrouvent. Et puis ensuite, on retrouve Bryan, 30 ans plus tard, il n'a pas oublié son ami et va partir à sa recherche. 

Ce livre nous interroge également sur les personnes internées. Sont-elles réellement toutes aussi folles que l'on veut le faire croire. Certaines ne profitent-elles pas de ce lieu pour oublier tous leurs tracas.

Cela m'a rappelé le livre de Coehlo "Veronika décide de mourir". Je ne sais pas si Olsen a lu Coehlo mais je trouve que les 2 oeuvres se rapprochent. 

Bref à lire comme un bon thriller de l'été ou même pour faire réfléchir.

Sur ce, je vous quitte, passez une bonne journée et à bientôt!

3 juillet 2019

encore de la lecture..

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Bonjour, 

Enfin on respire de nouveau... et j'en profite pour me mettre sur le pc!

Aujourd'hui un peu (beaucoup) de lecture avec 4 livres pour un seul message. J'aurais pu vous faire patienter et faire un message par livre mais vu que j'en ai déjà attaqué un nouveau, je risque de revenir assez vite. Et puis, pour ceux qui n'aiment pas lire, cela ne leur fait qu'un seul message à éviter.

Le premier:

Comme chaque année, la neige tombe sur le massif de l'Oisans et l'hiver s'empare lentement du petit monde de Pierre Verdier, ancien guide de haute montagne. Et comme chaque année, sa sœur Claire descend de Paris pour fêter la Toussaint.
Mais le calme cotonneux du hameau est vite troublé : Claire fait de terribles cauchemars dans lesquels elle voit une certaine Vicky. Vicky qui l'appelle dans le vent, Vicky qui agonise et crie encore, Vicky qui meurt étranglée. Et le rêve qui revient. Et ces traces dans la neige. Et cet homme qui rôde.
Jusqu'à ce que la réalité dépasse le pire de ses cauchemars...

Deux fois que j'emprunte ce livre à la bibliothèque, sa couverture m'intriguait mais la première fois, j'avais du le ramener, faute de temps pour le lire. Cette fois-ci, je l'ai terminé à temps...

J'ai beaucoup aimé ce roman en haute montagne: Pierre, guide de haute montagne mais qui a raccroché suite à une ascension où sa compagne est morte, comment, pourquoi? on ne sait pas trop au départ. 

Sa soeur qui revient avec des cauchemars récurrents, et qu'on retrouve pendue à quelques mètres, habillée d'une jupe et de bottes en plastique qu'elle aimait tant petite. 

Et qui est cette Vicky? Pierre va en appprendre beaucoup sur sa soeur, peut-être même trop. On le suspecte, on cherche... Saura-t-on enfin ce qui s'est réellement passé? Je vous laisse lire le livre pour le savoir.

Le second livre de ma liste

Les plus belles histoires d'amour ne meurent jamais. Elles continuent de vivre dans nos souvenirs et les coïncidences cruelles que notre esprit invente. Mais quand, pour Nathy, ces coïncidences deviennent trop nombreuses, doit-elle croire qu'il n'y a pas de hasard, seulement des rendez-vous ? Qui s'évertue à lui faire revivre cette parenthèse passionnelle qui a failli balayer sa vie ? Quand passé et présent se répètent au point de défier toute explication rationnelle, Nathy doit-elle admettre qu'on peut remonter le temps ? En quatre escales, Montréal, San Diego, Barcelone et Jakarta, dans un jeu de miroirs entre 1999 et 2019, J'ai dû rêver trop fort déploie une partition virtuose, mêlant passion et suspense, au plus près des cœurs qui battent trop fort.

 

Bussi, c'est un auteur que j'aime beaucoup. J'en ai déjà lu pas mal. J'ai même regardé les séries passées à la TV. Alors qui dit nouveauté, dit j'adhère et je lis mais bon, voilà, c'est comme Chattam, c'est comme Levy ou Musso, ce sont des grands noms mais à un moment, on s'en lasse ou alors ce sont eux qui se lassent d'écrire. Faire un livre chaque année, c'est difficile et la qualité devient moindre. Alors je ne dis pas qu'il n'est pas bien. Je dis juste qu'il est un peu tiré par les cheveux... Bref, à lire pour passer un moment sympa, au soleil, pendant les vacances mais sans plus. (en tout cas pour moi)

Le troisième: 

Reine mène une vie heureuse qu'elle partage entre son fils de dix-sept ans et un métier passionnant.
Une vie parfaite si elle n'était construite sur un mensonge qui, révélé, pourrait bien faire voler son bonheur en éclats...

Encore une auteur bien connue en ce moment... Mais j'avoue, même si on voit bien le côté cliché, même si on se dit que forcément c'est un peu trop fleur bleue, ça se lit tellement rapidement qu'on aime... Et puis cela se passe en partie à St Malo et j'avais beaucoup aimé cette ville donc cela me rappelle de bons souvenirs. Bref, un livre à mettre dans son sac de vacances. 

Enfin le dernier, pour réfléchir davantage: 

«  Le poisson rouge tourne dans son bocal. Il semble redécouvrir le monde à chaque tour. Les ingénieurs de Google ont réussi à calculer la durée maximale de son attention  : 8 secondes. Ces mêmes ingénieurs ont évalué la durée d’attention de la génération des millenials, celle qui a grandi avec les écrans connectés  : 9 secondes. Nous sommes devenus des poissons rouges, enfermés dans le bocal de nos écrans, soumis au manège de nos alertes et de nos messages instantanés.
Une étude du Journal of Social and Clinical Psychology évalue à 30 minutes le temps maximum d’exposition aux réseaux sociaux et aux écrans d’Internet au-delà duquel apparaît une menace pour la santé mentale. D’après cette étude, mon cas est désespéré, tant ma pratique quotidienne est celle d’une dépendance aux signaux qui encombrent l’écran de mon téléphone. Nous sommes tous sur le chemin de l’addiction  : enfants, jeunes, adultes.
Pour ceux qui ont cru à l’utopie numérique, dont je fais partie, le temps des regrets est arrivé. Ainsi de Tim Berners Lee, «  l’inventeur  » du web, qui essaie de désormais de créer un contre-Internet pour annihiler sa création première. L’utopie, pourtant, était belle, qui rassemblait, en une communion identique, adeptes de Teilhard de Chardin ou libertaires californiens sous acide.
La servitude numérique est le modèle qu’ont construit les nouveaux empires, sans l’avoir prévu, mais avec une détermination implacable.  Au cœur du réacteur, nul déterminisme technologique, mais un projet qui traduit la mutation d’un nouveau capitaliste  : l’économie de l’attention. Il s’agit d’augmenter la productivité du temps pour en extraire encore plus de valeur. Après avoir réduit l’espace, il s’agit d’étendre le temps tout en le comprimant, et de créer un instantané infini. L’accélération générale a remplacé l’habitude par l’attention, et la satisfaction par l’addiction.  Et les algorithmes sont aujourd’hui les machines-outils de cette économie…
Cette économie de l’attention détruit, peu à peu, nos repères. Notre rapport aux médias, à l’espace public, au savoir, à la vérité, à l’information, rien n’échappe à l’économie de l’attention qui préfère les réflexes à la réflexion et les passions à la raison. Les lumières philosophiques s’éteignent au profit des signaux numériques. Le marché de l’attention, c’est la société de la fatigue.
Les regrets, toutefois, ne servent à rien. Le temps du combat est arrivé, non pas pour rejeter la civilisation numérique, mais pour en transformer la nature économique et en faire un projet qui abandonne le cauchemar transhumaniste pour retrouver l’idéal humain…  »

Pour l'enseignante que je suis, l'attention des élèves c'est primordial. je voulais donc lire ce livre mais comme je suis assez souvent deçue par ces essais, j'avais proposé à la bibliothèque de l'acquérir. Je dois dire que j'ai bien fait de ne pas dépenser mon argent. Après je remercie la bibliothèque qui elle l'a acheté, même si j'espère que d'autres le prendront et le trouveront intéressant car sinon je m'en voudrai un peu. Alors que les gens n'aient plus d'attention, on le savait. Que cela vienne des temps passés sur les ordinateurs, on le savait aussi. Donc le premier chapitre nous explique juste ce qu'on savait déjà. Le dernier nous dit qu'il faudrait combattre cela. Bien oui, mais je pensais trouver dans ce livre des moyens de le faire. Alors qu'en fait l'auteur nous démontre uniquement pourquoi les grands de ce monde, les capitalistes qui veulent toujours gagner plus font de nous des poissons rouges. Et tout cela dans un langage complexe, trop ardu pour le commun des mortels. Bref je l'ai lu mais je n'ai rien appris de nouveau que ce que je ne savais déjà et en plus, je me suis un peu ennuyée. Bref, si vous le voyez en librairie, lisez le premier et le dernier chapitre et vous aurez tout lu. 
Voilà ce sera tout pour aujourd'hui, je vous laisse vaquer à vos occupations, lacher votre ordinateur (pour ne pas devenir un poisson rouge) et pourquoi pas prendre un livre... Bonne journée et à bientôt!

 

 

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12 juin 2019

ça ne se mange pas!

Bonjour, 

Cette année, dans leurs classes respectives, nombre de mes collègues ont utilisé de la Fimo. Je n'avais encore jamais testé de travailler avec ce matériel. 

Mais il ne faut jamais dire jamais et donc, samedi j'ai été chercher 2 paquets afin de voir ce que cela pouvait donner.

Avec Lilofé Junior, nous avons regardé divers tutos et nous nous sommes lancées...

Nos premières créations: des cupcakes. A votre avis, lequel est le mien? 

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 Puis nous avons testé de faire des macarons. 

IMG_1001 [Largeur maxVoici la totalité de nos desserts: 

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Et pour vous donner une impression sur la taille, Lilofé Junior a bien voulu placer son doigt sur la photo. 

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Je trouve ça assez agréable à travailler mais j'avoue que la Fimo reste pour moi un moyen de faire uniquement de très petites choses comme des bijoux ou des boutons. Je ne pense donc pas devenir une grande fan mais au moins, je pourrai dire: "j'en ai fait!" Et puis on ne sait jamais, je peux changer d'avis. Dans tous les cas, si je veux l'utiliser en classe, désormais je peux.

Sur ce, je vous quitte, bonne fin de journée et à bientôt! 

 

10 juin 2019

Un: je passe, deux: je reste...

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Bonjour, 

Je ne sais pas chez vous mais ici, il pleut, il tonne depuis presque 48h et cela ne donne vraiment pas envie de sortir. Donc j'en profite pour lire, coudre... ou autres petites choses que vous verrez très prochainement.

Alors pourquoi ce titre? 

Parce que le premier livre dont je vais vous parler, je l'ai passé, zappé comme on dit.

Irlande, 1845. Par un froid matin d'octobre, alors que la Grande Famine ravage le pays, la jeune Grace est envoyée sur les routes par sa mère pour tenter de trouver du travail et survivre. En quittant son village de Blackmountain camouflée dans des vêtements d'homme, et accompagnée de son petit frère qui la rejoint en secret, l'adolescente entreprend un véritable périple, du Donegal à Limerick, au coeur d'un paysage apocalyptique. Celui d'une terre où chaque être humain est prêt à tuer pour une miette de pain.

Je pensais vite me prendre à cette lecture mais rien du tout... Au bout de 100 pages, le style d'écriture m'a perturbé et j'ai arrêté ma lecture. Pas que l'histoire en elle-même ne soit pas inintéressante mais ce n'est pas un style qui me plait, trop de détails ou pas assez...trop de flou.. Bref, on passe à autre chose quoi qu'en certains points les deux histoires puissent se ressembler: un chemin un peu initiatique mais à 2 âges totalement différents.

Dans sa ferme du fin fond du Saskatchewan, Etta, quatre-vingt-trois ans, n'a jamais vu l'océan. Un matin, elle enfile ses bottes, emporte un fusil et du chocolat, et entame les trois mille deux cent trente-deux kilomètres qui la séparent de la mer.
" J'essaierai de ne pas oublier de renter. " C'est le mot qu'elle laisse à Otto, son mari. Lui a déjà vu l'océan, il l'a même traversé des années plus tôt, pour prendre part à une guerre lointaine. Il comprend la décision de sa femme mais, maintenant qu'elle n'est plus là, il ne sait plus comment vivre.
Russell, l'ami d'enfance d'Otto, a passé sa vie à aimer Etta de loin. Il ne peut se résoudre à la laisser seule et part à sa suite. Et qui sait, peut-être pourra-t-il chasser le caribou en chemin.

Bercé par le rythme des vagues, Etta et Otto (et Russell et James) vogue du souvenir à l'oubli. Un roman lumineux sur la mémoire, l'amour et la poésie des mots.

Cette histoire est bizarre: des allers retours entre l'époque de la seconde guerre mondiale et aujourd'hui (enfin notre époque). Une femme qui se lance sur les routes malgré un début d'Altzheimer mais est-elle vraiment sur la route ou est-ce le fruit de son imagination? Un coyote qui l'accompagne ou encore une fois est-ce son cerveau qui l'invente ?Son mari qui l'attend ou pas, sachant qu'à un moment, les identités se mélangent. Bref, j'ai été un peu perturbé en lisant cette histoire mais d'un autre côté, j'avais envie de savoir la fin, envie de savoir si elle arriverait à la mer ou pas. On retrouve un peu d'autres histoires: Forrest Gump car la marche d'Etta est suivie par des millions de personnes à travers le pays, un peu du livre précédent où la jeune fille parle à son frère mort, bien qu'ici Etta parle à un coyote. Et puis la sombre histoire de la guerre en fil conducteur. 

Bref, un livre un peu "étrange" mais qui ne laisse pas indifférent. 

Et puis tout le long de l'histoire, je pensais à une chanson de Linda Lemay que j'aime beaucoup: tu t'appelles marguerite.

Si vous ne connaissez pas cette chanson, n'hésitez pas à cliquer sur le lien pour aller l'écouter! (je n'ai pas assez de débit ici pour insérer la vidéo)

Sur ce je vous quitte (mais pas trop longtemps promis), bonne fin de journée et à bientôt

4 juin 2019

2 livres qui n'en font qu'un...

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Bonjour, 

Aujourd'hui je viens vous parler de ce livre : 

ou plutôt de celui-ci: 

Et oui, bizarre non... D'un côté du livre, 300 pages intitulées "Avec elle", livre retourné, 300 autres pages intitulées "Sans elle".

Deux auteurs différentes, 2 histoires qui semblent également différentes et pourtant, un même début, une même fin, des personnages identiques, des chemins qui se croisent mais pas forcément pour les mêmes raisons. 

 

Il était une fois une famille heureuse et unie.
Des jumelles de six ans qui se ressemblent comme deux gouttes d'eau.
Deux sœurs qui grandissent, inséparables...
Avec elle
Le 14 juillet, alors que Coline est punie, Jessica assiste au feu d'artifice.
De ce léger accroc à leur amour fusionnel naît la jalousie.
Chaque jour plus dévorante et maladive, elle va jusqu'au bout empoisonner leur vie.
Sans elle
Le 14 juillet, alors que Coline est punie, Jessica assiste au feu d'artifice.
Elle ne rentrera jamais à la maison...
Chaque jour plus cruelle et toxique, son absence va sceller le destin de sa jumelle.

 

 

J'ai beaucoup aimé ce livre, enfin ces 2 livres réunis. 

Dans chacun on suit le cheminement de la vie de Coline, avec ou sans sa jumelle Jessica. 

J'ai commencé par "Avec elle". Avec le recul, je crois que j'aurais du commencer par "Sans elle" pour voir si la vie de Coline aurait été vraiment différente avec sa soeur que sans elle. Mais le fait de les lire à la suite nous donne encore plus envie de voir comment l'histoire va tourner. 

On vit le tourment de cette petite fille jusqu'à sa majorité, que ce soit dans la jalousie ou dans l'absence de sa moitié. Et la fin nous fait dire que quoi qu'il se passe, tout est toujours écrit puisque, quelque soit le chemin qui est pris, la fin est quasi identique. 

En clair, un livre à mettre sur votre liste si vous ne savez pas quoi emmener en vacances. Par contre, attention, ce n'est pas une histoire gaie, loin de là. 

Sur ce, je vous laisse, bonne fin de journée et à bientôt. 

2 juin 2019

Depuis hier

Bonjour, 

Depuis hier, j'aurais du vous montrer une nouvelle oeuvre de Lilofé Junior mais, je l'avoue, j'ai préféré profiter du soleil que de rester devant le PC.

Mais voilà, c'est réparé. 

Souvenez-vous début mai, je vous avais montré un coussinet sur le thème de ce mois justement. Lilofé Junior avait trouvé les modèles d'Alféa très jolis et avait voulu en broder, à son tour.

Tout d'abord pour commencer, un beau cerisier, mais gare aux pies qui sont très attirées par ses fruits.

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Rajoutez le mois et quelques cerises bien mures:

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Pour encadrer cette broderie, du tissu de la couleur de l'herbe fraiche de ce mois de juin et voilà un nouveau coussinet pour la maison: 

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Lilofé Junior ne s'est pas arrêtée là mais je vous montrerai tout cela en temps et en heure. 

Terminez bien ce long week end ensoleillé, et à bientôt!

30 mai 2019

Fini en 2 jours...

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Bonjour, 

Comme le titre l'indique, un nouveau livre commencé il y a 2 jours et déjà fini. Il faut dire qu'il est écrit en assez gros caractère, avec des marges très importantes et environ 300 pages. Ce n'est pas le bout du monde...

En 1999, après avoir publié trois romans devenus cultes, le célèbre écrivain Nathan Fawles annonce qu'il arrête d'écrire et se retire à Beaumont, une île sauvage et sublime au large des côtes de la Méditerranée.

Automne 2018. Fawles n'a plus donné une seule interview depuis vingt ans. Alors que ses romans continuent de captiver les lecteurs, Mathilde Monney, une jeune journaliste suisse, débarque sur l'île, bien décidée à percer son secret.

Le même jour, un corps de femme est découvert sur une plage et l'île est bouclée par les autorités. Commence alors entre Mathilde et Nathan un dangereux face à face, où se heurtent vérités occultées et mensonges assumés, où se frôlent l'amour et la peur...

Une lecture inoubliable, un puzzle littéraire fascinant qui se révèle diabolique lorsque l'auteur y place sa dernière pièce.

Musso c'est comme Levy, on aime ou on n'aime pas. Je dois dire que je n'adore pas mais de temps en temps, j'en prends un sur les étagères de la médiathèque. Comme ça... Pour voir.... 

Et puis, comme c'est un auteur connu, on en entend parler partout bien sûr. 

Alors quand j'ai vu que celui-ci, sorti en avril, était disponible, je l'ai emprunté. 

Le début est bien, on rentre facilement dans l'histoire. Et puis après, on a quand même envie de savoir la suite: savoir pourquoi Nathan Fawles est si discret, savoir pourquoi il y a eu ces crimes, pourquoi Mathilde Monney fait des recherches sur Nathan...

Mais, la fin.... Pffff.... je l'ai trouvé emberlificotée, compliquée. Pourtant la guerre au Kosovo, je connais un peu pour avoir cotoyé pendant quelques temps un Kosovar qui arrivait de là-bas. Mais je pense qu'il a voulu aller trop loin, trop vouloir checher de l'historique pour faire plus vrai? 

Dans tous les cas, je crois que je devrais arrêter de lire du Musso pour lire un bon thriller et rester sur du Olsen ou Thilliez.

Au final, un livre rapide qui peut permettre de passer le temps mais qui ne restera pas dans mes annales de lecture.

Sur ce, je vous quitte, passez une bonne fin de journée, et à bientôt.

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