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L'antre des Fées
22 juillet 2023

Vous croyez qu'il faut que je m'arrête

Bonjour, 

Aujourd'hui encore 12 livres à vous proposer (enfin 14 mais 2 non terminés).

Je crois qu'il faudrait que j'arrête un peu de lire trop vite mais on ne se refait pas. 

Et encore, j'ai arrêté ce message à 12 car j'en ai déjà fini un nouveau que vous verrez dans le prochain message. 

il faudrait aussi que je vous mette des photos de mes dernières broderies mais là, il faut que je prenne les photos, c'est plus long.

Enfin voilà de quoi agrémenter votre PAL pour les vacances si besoin.

 Bonne lecture et à bientôt!

 

la maison des hautes falaisesHanté par un passé douloureux, Lex Henderson part s'installer dans un petit village isolé, sur la côte australienne. Il tombe très vite sous le charme de cet endroit sauvage, où les journées sont rythmées par le sac et le ressac de l'océan. Au loin, il aperçoit parfois des baleines. Majestueuses, elles le fascinent.
Peu de temps après son arrivée, il rencontre Callista, artiste passionnée, mais dont le cœur est brisé. Attirés l'un par l'autre, ils ont pourtant du mal à laisser libre cours à leurs sentiments. Parviendront-ils à oublier leurs passés respectifs et à faire de nouveau confiance à la vie ?
Dans la lignée de La Mémoire des embruns, un roman tout en finesse, véritable ode à la nature et à son admirable pouvoir de guérison.

Quand j'ai attaqué ce livre, je me suis dit "encore un roman feel good comme les autres." Et puis j'ai vu sur le 4eme de couverture que Gérard Collard avait émis un avis et en général, il ne parle pas trop des romans un peu "niais". 

J'ai donc attaqué ce livre et effectivement, il est plus complexe qu'il n'y parait. Beaucoup de non dits font que l'histoire se poursuit lentement mais avec toujours des doutes, des suppositions. Jusqu'au final qui n'en est pas tout à fait un. 

En tout cas une belle histoire, sur fond de baleines et de beaux paysages tourmentés. 

 

sigloÀ Siglufjördur, « Sigló » pour les plus connaisseurs, petit port de pêche au nord de l’Islande, les ténèbres hivernales se sont dissipées. La vie y est paisible. Mais quelques jours avant Pâques, Ari Thór, l’inspecteur de la police locale, est appelé au beau milieu de la nuit : le corps d’une adolescente a été retrouvé gisant dans la rue principale.
Un meurtre paraît peu plausible dans une bourgade aussi calme. Pourtant, non loin de là, dans une maison de retraite, un vieil homme sénile a écrit sur les murs de sa chambre : Elle a été tuée. Et s’il disait la vérité ?
Après plusieurs années passées à Sigló, l’inspecteur Ari Thór s’y sent toujours comme un étranger. Jongler avec son travail et sa vie de famille est un casse-tête. Mais l’enquête se complique, et le temps presse : une nouvelle tempête de neige pourrait bien paralyser toute la ville.

Quand j'ai vu le 4eme de couverture, et qui plus est un poiar des pays du froid, je me suis dit "banco". Mais quand j'ai eu le livre en main, je me suis dit "mince, seulement 260 pages, ça va aller vite". 

Et effectivement, ça a été vite... 

Alors c'est une petite enquête "rapide", ça se lit, mais on ne rentre pas vraiment dans les détails. Je dirais même que ce serait limite un livre pour ados car si vous êtes habitué à Thilliez, Minier ou Olsen même, il n'y a rien de sanglant ici: pas de corps déchiquetés, pas de sang à outrance et pas de sévices spécifiques. Le seul sang qui existe est celui que l'on retrouve sous la tête de l'adolescente dans les premières pages, cela s'arrêtera là. 

Donc un petit livre qui se lit vite mais qui ne sort pas du tout du lot. 

le spleen du pop corn qui voulait exploser de joieJoy travaille dans une agence de celebrity marketing qui connecte des talents VIP avec de grandes marques. Dans ce monde d'image et de luxe, mieux vaut être brillant. Mais Joy ne se sent pas vraiment de talents particuliers et afin de compenser, elle se met toujours plus de pression. Elle, que son père surnommait enfant son " p'tit pop-corn " tant elle irradiait de gaieté, se retrouve aujourd'hui au bord de l'implosion jusqu'à en développer un toc digital qui lui donne l'illusion de garder le contrôle.
Pour couronner le tout, à la veille de Noël, voilà qu'on lui confie la délicate mission d'organiser l'événement des dix ans de l'agence. C'est là que le destin intervient pour la mettre sur le chemin de Benjamin, jeune entrepreneur plein de vie et d'optimisme. Lui et sa petite troupe ont la joie contagieuse, et cette rencontre va bouleverser Joy dans ses certitudes. Le temps de la " désapplication " serait-il venu ?
Mais attention, car un pop-corn qui éclate, ça fait du bruit. Beaucoup de bruit...

Giordano, tout le monde en a entendu parler. Vous savez c'est elle qui a écrit: Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n'en as qu'une. 

J'avais déjà lu 2 livres de cette auteur. J'aurais peut-être du m'arrêter à ce nombre. Pourtant la couverture était jolie! Ou alors, je lis trop pour encore apprécier ce genre de lecture. je ne sais pas. Toujours est-il que j'ai trouvé cela trop "bateau". Mais comme l'on dit certains sur Babelio, cela se lit comme on regarde un film de Noël, sans se prendre la tête.

Par contre, qu'est-ce qu'on aimerait pouvoir, comme toutes ces héroines, envoyer tout valser pour changer toute sa vie. Mais question: ont-elles des enfants qui font des études et les besoins qui vont avec? Je ne crois pas, sinon elles se poseraient plus la question... 

en cas de forte chaleurComme chaque matin depuis trente ans, Robert Riordan part acheter son journal. Mais en ce jour caniculaire de juillet 1976, Robert part et ne revient pas.
Dans leur maison londonienne, Gretta, sa femme, s'interroge : quelle mouche a bien pu le piquer ? Doit-elle prévenir les enfants ? À peine réunis, ces derniers tentent de prendre la situation en main : les placards sont retournés, les tiroirs vidés, chaque pièce fouillée en quête d'indices. Mais, alors que le mystère autour de leur père s'épaissit, les vieilles rancœurs ressurgissent. L'aîné en a assez : pourquoi est-ce toujours à lui de prendre en charge sa famille ? Quant aux deux sœurs, jadis si proches, quel événement a brisé leur lien, si terrible que la cadette a décidé de mettre un océan entre elles ? Et Gretta, a-t-elle vraiment tout dit ?

Ce roman a une durée très courte puisque toute l'intrigue tient sur 3 jours. Le 1er jour, le père quitte la maison pour aller chercher son journal mais il ne revient pas. La mère appelle ses enfants à l'aide. Il y a Michael Francis l'ainé, qui a des problèmes de couple, Monica qui est aussi tiraillé entre son nouveau mari et ses 2 belles filles et qui malheureusement voit, le jour même, disparaitre son père et perdre le chat que la famille avait adopté du temps où l'ex femme de son mari était encore là. Et puis il y a Aoife, qui revient d'Amérique où elle a fui, mais fui quoi?? Tous se retrouvent dans la maison de leur enfance avec leur mère mais les secrets sont plus nombreux dans cette famille que ce que l'on pense. J'ai bien aimé suivre toute cette intrigue, découvrir les mots enfouis ou tus au fil des années. Une belle découverte qui change un peu des autres romans habituels. 

 

une bête au paradisLa vie d’Émilienne, c’est le Paradis. Cette ferme isolée, au bout d’un chemin sinueux. C’est là qu’elle élève seule, avec pour uniques ressources son courage et sa terre, ses deux petits-enfants, Blanche et Gabriel. Les saisons se suivent, ils grandissent. Jusqu’à ce que l’adolescence arrive et, avec elle, le premier amour de Blanche, celui qui dévaste tout sur son passage. Il s’appelle Alexandre. Leur couple se forge. Mais la passion que Blanche voue au Paradis la domine tout entière, quand Alexandre, dévoré par son ambition, veut partir en ville, réussir. Alors leurs mondes se déchirent. Et vient la vengeance. Une bête au Paradis est le roman d’une lignée de femmes possédées par leur terre. Un huis clos fiévreux hanté par la folie, le désir et la liberté.

Un petit livre qui quand on lit le 1er chapitre ne semble pas "payer de mine". Et puis on s'attache aux personnages et on a vite envie de savoir comment cela va terminer. Quant au final... franchement je ne m'attendais pas du tout à cela mais je ne veux pas vous spoiler.

En tout cas un livre à lire pour passer un bon moment. 

la failleLa frontière entre la vie et la mort est peut-être plus trouble qu'il n'y paraît...

Une interpellation qui tourne au fiasco. Un officier admis à l'hôpital en urgence absolue. Pour le commandant Sharko, la lieutenant Lucie Henebelle et le reste de l'équipe, la déroute est totale. Violente. Mais la soif de justice est plus forte que jamais. Mis à l'écart le temps que l'IGPN tranche sur sa responsabilité, Sharko se lance alors dans des investigations en dehors de tout cadre légal. Une enquête dangereuse et éprouvante qui laissera des traces.
Du fin fond d'une abbaye ancestrale aux couloirs austères d'un hôpital psychiatrique, Sharko va être confronté à la folie et découvrir que lorsque la science ignore l'éthique, tout peut basculer.

Du Thilliez pur et dur qui nous emmène aux frontières de la mort. Si vous aimez les histoires d'EMI (expérience de mort imminente), si vous aimez avoir peur et réfléchir sur la folie que peut engendrer la médecine, ce livre est fait pour vous. Pour les autres, passez votre chemin... Par contre, j'ai découvert des choses horribles en lisant ce livre. Ames sensibles s'abstenir, mais sinon allez voir cette vidéo! Cela vous donnera un aperçu de ce qui peut se trouver dans ce roman. Par contre, j'ai trouvé la fin un peu rapide, elle aurait mérité plus de pages car l'arrivée en si peu de chapitres de nouveaux personnages m'a un peu destabilisé.

 

la belle et la bêteLes contes de notre enfance revisités... pour nourrir tous nos cauchemars !

Une jeune infirmière traumatisée, obligée de raconter sa terrible histoire aux autorités. Une résidence luxueuse dissimulée au coeur de la forêt boréale et regorgeant d'horreurs innommables... Un prisonnier sauvagement mutilé, incapable de venir en aide à une famille au funeste destin. Un adolescent dont l'âme a depuis longtemps été arrachée, servant un maître impitoyable. Une bête maudite, capable des pires atrocités... Les nombreuses versions de La belle et la bête subliment un éternel fantasme romantique, celui de dompter et de transformer un ignoble monstre grâce à un amour sincère. Et si cet amour n'était en réalité qu'une obsession malsaine, une solution pour concrétiser d'abjectes pulsions ? Toute malédiction n'est peut-être pas bonne à briser...

 Ma médiathèque m'avait proposé ce livre. J'avoue que j'ai trouvé cela intéressant, remettre les contes que tout le monde connait au goût du jour et pour adultes (car oui, c'est noté sur le livre, pour public averti, +18 ans). D'un autre côté, les contes de notre enfance n'étaient-ils déjà pas des contes détournés (qui sait que le loup du petit chaperon rouge est en fait un dangereux psychopathe qui attend les enfants dans les bois pour leur faire du mal et se retrouver dans un lit avec eux?)

Enfin, tout cela pour dire que j'ai réservé le livre. Quand je l'ai eu entre les mains, je me suis dit qu'il était vraiment petit (moins de 200 pages) et que cela allait vite. 

Donc l'histoire: une famille avec un père et 3 filles dont Izabelle (clin d'oeil à Belle, d'ailleurs vous verrez à un moment, on vous parlera aussi de rose mais je veux pas spoiler), Izabelle, donc, la plus jeune qui est très proche de son père. Un soir d'anniversaire, ils se font enlever et se retrouvent dans l'antre d'un monstre. Et comme dans le conte, Izabelle va prendre la place de son père pour le sauver. Ceci est le début mais au milieu du livre, gros retournement de situation. Je n'en dis pas plus. 

Alors nous sommes bien dans un livre pour adultes dans ce qu'il y a de détails sanglants (des membres mutilés, des gens torturés, le sang, les os, les viscères) et de détails sexuels mais, il y a un mais... En 200 pages voir moins (vous comprendrez avec le retournement du milieu si vous le lisez), il est impossible de faire du Stephen King et de faire monter le lecteur en pression pour lui faire ressentir ce petit pincement de peur et d'angoisse. Je dirais même que cela va tellement vite que cela en devient risible (et pof, on coupe une langue, et pof, on brule un visage...). 

En clair, je dirais effectivement petit conte de notre enfance pour adultes mais pas de quoi en faire un prix Nobel non plus, juste passer un petit moment sympathique. (Enfin sympathique, si vous lisez des commentaires sur Babelio par exemple, certains passages ont pu faire limite vomir certaines personnes, je suis peut-être un peu dérangée pour ne pas avoir eu des hauts le coeur). 

Sachez également que c'est une collection qui s'appelle les contes interdits et qu'il y en a beaucoup d'autres, vous en reverrez peut-être par ici...

plus on est de fous, plus on s'aime

Décidés à changer de vie, deux amis que tout oppose - Joseph, avocat d'affaires, et Roger, ex-braqueur - se sont installés dans une masure au milieu des bois. Un jour, ils découvrent sur une aire d'autoroute un bébé abandonné. Contre toute attente et le plus élémentaire bon sens, ils choisissent de le garder sans avertir la police. Heureusement, les deux compères ont de la suite dans les idées et un entourage aussi dévoué qu'inventif. Au contact de l'enfant, Joseph et Roger réparent peu à peu leurs blessures, leur solitude et leurs regrets. Mais une ombre venue du passé plane sur eux...L'auteur des Recettes de la vie revient avec une histoire aussi rocambolesque que tendre.

 Un petit livre (256 pages) qui fait du bien au moral par les temps qui courent. Une histoire de bébé qui voit se former autour de lui une famille totalement recomposée et destructurée mais remplie d'amour. A lire en vacances pour passer un bon moment. 

un oeil dans la nuitDans les montagnes, retiré du monde, un réalisateur de films d'horreur, Morbus Delacroix. Culte, misanthrope, fou. Parmi ses fans, une étudiante en cinéma. Fascinée, intrépide, inconsciente.
À Toulouse, un as des effets spéciaux est retrouvé mort, ligoté sur un lit d'hôpital. Et si ce meurtre trouvait sa source dans un film maudit ? Pour le commandant Martin Servaz, peut-être la plus grande énigme de sa carrière...

Minier, Thilliez et autres, j'ai l'impression qu'ils se copient tous. Dans le dernier Thilliez, une personne de l'équipe meurt, dans ce dernier Minier, c'est la même chose. Du gore en veux-tu en voilà... trop de tout, trop de personnages, trop d'énigmes alambiquées.

D'ailleurs Minier ne se cache pas de son "affection" pour les autres auteurs de son époque et du même style puisque Servaz, son policier fétiche, va croiser Sharko (le policier de Thilliez), qu'il va aller boire dans un café qui s'appelle Le Bussy et il fera même un clin d'oeil à plus vieux que lui avec Arsène Lupin. 

Bref, à force de vouloir faire des romans et encore des romans, tous ces auteurs commencent à se perdre. 

Alors cela se lit, surtout si vous êtes adeptes des films d'horreur pour celui-ci, mais rien de bien transcendant et pas de palpitations pour moi cette fois-ci. On verra le prochain....

 amours et autres obsessionsL'amour, c'est comme la tombola : pas facile de tirer le bon numéro. Question de chance ou de... lucidité ? Prenez une hypnothérapeute en quête de stabilité sentimentale, amoureuse d'un père célibataire harcelé par une ex prête à tout pour ne pas être oubliée, y compris à traquer sa rivale. Ajoutez un zeste d'idéalisme et le rêve d'une relation parfaite. Cela donne un triangle amoureux à haut risque...La plume de Liane Moriarty, fine psychologue et observatrice mordante de la comédie humaine, ausculte nos peurs, notre obsession du bonheur et notre stupide conviction que l'amour, c'est tout blanc ou tout noir... au risque d'y voir flou !

L’idée de départ me plaisait : une hypnothérapeute qui rencontre un veuf, déjà père d’un petit garçon de 8 ans, une fille qui harcèle ce veuf car il l’a largué il y a 3 ans. Bref, une histoire un peu embrouillée mais qui pouvait promettre des moments plutôt sympathiques. J’avoue que je pensais plutôt sourire lorsque j’ai pris ce livre mais pas du tout. D’un autre côté, au départ, je me demandais bien comment cette histoire allait finir.

Au bout de 200 pages, je me suis dit que j’allais le refermer, que l’histoire tournait en rond, que cela n’avançait pas. Et puis j’ai continué en attendant un rebondissement, une nouvelle tournure.

Et bien jusqu’à la fin, cela a été la même chose. Je dis quelque fois que les auteurs devraient étoffer leurs ouvrages, qu’ils sont trop courts. Ce livre, je dirais que c’est l’inverse, on aurait pu faire la même histoire avec 150 pages de moins (au bas mot).

Reste une petite histoire romanesque que j’oublierai sûrement très rapidement.

ainsi gèlent les bulles de savon

« Certains choix nous définissent à tout jamais, celui-ci en fait partie. À partir d’aujourd’hui, je peux bien écrire la neuvième symphonie, sauver le monde d’une troisième guerre mondiale ou inventer le vaccin contre le sida, on ne retiendra de moi que cet acte innommable : j’ai abandonné mon bébé, toi, mon minuscule amour aux joues si douces. Puisses-tu un jour me pardonner. » 
Trois pays, de vibrants portraits de femmes aux destins entrecroisés. Quel est le lien qui les unit ? Quelle est leur véritable histoire ?
De sa plume lumineuse et addictive, Marie Vareille nous offre une merveilleuse histoire d’amour, d’espoir et de résilience.

J'ai déjà lu plusieurs livres de Marie Vareille mais lorsque j'ai choisi celui-ci je n'avais pas noté qu'elle en était l'auteur. Au départ, je me suis dit que j'avais déjà lu ce roman. Alors j'ai été vérifié dans mon album des livres lus depuis 2012 et il n'y était pas. (et comme il est sorti en 2021, ce n'était pas possible de l'avoir lu avant 2012). D'un autre côté, dans ce livre, il y a 3 histoires et nombreux sont les auteurs actuellement qui à chaque chapitre changent de narrateur. 

Au départ, je me suis dit "bof, encore un livre un peu plat." Et puis à la moitié, il est devenu plus intéressant, ou alors j'étais mieux réveillée et encline à rentrer dans l'histoire (allez savoir... Il y a des moments où telle phrase nous parle plus qu'à d'autres).

En tout cas, un beau final, un peu feel good bien sûr mais cela fait aussi du bien de temps en temps au milieu des polars. 

Histoire d'Alice qui ne pensait jamais à rienPaul a cinquante-six ans. Il vient de perdre sa mère. À son enterrement, il rencontre la sœur de celle-ci pour la première fois. Il ne connaît d'elle que son prénom, Alice. À soixante-treize ans, sa tante ne lui apparaît pas comme une vieille dame. Elle est séduisante, un peu mystérieuse et, surtout, pleine de vie et de fraîcheur. Elle invite son neveu à venir la voir à son hôtel et là, en face à face, elle va lui raconter son incroyable existence.
Alice fait partie de ces êtres rares qui ont vécu dix vies en une seule. Et s'il est vrai que tous les hommes sont mortels, les maris d'Alice le sont tout particulièrement : elle est veuve pas moins de huit fois !
La vie d'Alice n'est pas un roman, c'est une série romanesque qui nous emporte, nous enchante et nous fait voyager durant cinquante ans autour du monde au rythme de ses joies mais aussi de ses peines – qui, de façon peu commune, la bouleversent mais sans la détruire ou la rendre amère. Car Alice s'adapte au cours des choses, elle réfléchit peu. Dit toujours oui aux chances qui s'offrent à elle. Légèreté ou sagesse ? C'est ce que Paul va découvrir tandis qu'Alice ouvre pour lui la malle de ses secrets.
Dans cette comédie dramatique au charme très " british ", on suit le parcours extraordinaire d'une femme attachante qui, au fil de ses mariages et de ses rencontres, va découvrir – et nous avec elle – les choses de la vie : l'amour, le sexe, les relations avec autrui, la perte et la faculté de reconstruire – et par-dessus tout l'émerveillement.

183 pages: autant vous dire qu'il a été avalé en moins de 2h. Un peu mitigé sur ce livre. 

Je pense qu'il faut le lire comme une suite d'anecdotes et non comme un véritable grand roman car chaque chapitre raconte la rencontre et le mariage d'Alice avec chacun de ses maris et ensuite leurs morts (puisque pour se remarier, il a fallu que chacun succombe, assez rapidement d'ailleurs). Cela m'a fait l'effet d'une suite de petits articles que l'on pourrait lire dans un magazine féminin (vous voyez le genre: elle l'a rencontré comme ça, ils se sont mariés à cet endroit et il est mort de cette façon, le tout sur moins de 10 pages à chaque fois). 

Ce n'est pas transcendant mais cela permet de passer un petit moment assez sympathique même si cela aurait mérité d'être plus étoffé, on est vraiment dans le très succinct. 

LIVRES COMMENCES MAIS NON TERMINES: 

les arrosoirs de CasamanceA La Louverie, charmant village du Morvan niché dans son écrin de verdure, rien ne va plus ! Un article du quotidien local révèle un monstrueux projet de construction aux abords de la forêt. C'est la fronde au sein de la petite communauté. D'autant qu'un étrange couple vient de s'installer au château, suscitant bien des interrogations. Lui est un homme d'affaires à la retraite, à la réputation sulfureuse. Elle, Irma, une jeune femme pétillante mais désœuvrée. Et que vient faire Rodolphe, forestier, natif du coin, dans cette histoire ? Négociations secrètes, dessous-de-table, lettres anonymes... l'ambition des uns n'a de rivale que la cupidité des autres. Seule Irma, tombée amoureuse de Benoît, un agriculteur du pays, semble apporter de la gaieté parmi les villageois. Mais pour combien de temps ?Un fervent et joyeux plaidoyer pour la préservation de la nature doublé d'une chronique villageoise savoureuse.

Ce livre est barré car bien qu'emprunté, je ne l'ai pas lu. J'ai essayé car le 4ème de couverture me tentait bien mais au bout de 20 pages, j'ai décroché. Le style d'écriture ne me convenait pas, je ne rentrais pas dans le roman. Dommage mais il plaira sans doute à d'autres. 

Love me tender" Je ne vois pas pourquoi l'amour entre une mère et un fils ne serait pas exactement comme les autres amours. Pourquoi on ne pourrait pas cesser de s'aimer. Pourquoi on ne pourrait pas rompre. Je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas s'en foutre, une fois pour toutes, de l'amour. "Constance Debré poursuit sa quête entamée avec Play Boy, celle du sens, de la vie juste, de la vie bonne. Après la question de l'identité se pose la question de l'autre et de l'amour sous toutes ses formes, de l'amour maternel aux variations amoureuses. Faut-il, pour être libre, accueillir tout ce qui nous arrive ? Faut-il tout embrasser, jusqu'à nos propres défaites ? Peut-on renverser le chagrin ?

Lorsque j'ai lu le 4ème de couverture je m'attendais à une jolie histoire entre une mère et son fils et bien détrompez-vous. Ce livre parle d'une femme qui quitte son mari parce qu'elle a découvert qu'elle aimait les femmes. Son fils ne veut plus la voir, elle se jette à corps perdu (c'est le cas de le dire) dans des amours fugaces et y met tous les détails. Au final, elle perdra son fils car elle n'arrivera jamais à renouer le contact. J'ai trouvé ça vulgaire et mal écrit, je n'ai pas voulu le terminer. Et pourtant, j'en avais lu des éloges sur pas mal de sites. Comme quoi, et je l'ai déjà dit, les prix littéraires ne sont pas faits pour moi. Pourtant, j'aime réfléchir lorsque je lis et découvrir mais pas tout apparemment. 

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