Bonjour, 

Comme dirait une amie à moi, les vacances sont faites pour lire. Mais là depuis une semaine, je ne sais pas ce qui se passe, on ne m'arrête plus.

Alors attention, les messages sont envoyés au compte goutte et le jour de publication ne correspond pas forcément au moment où j'ai fini le livre.

En fait pour tout vous avouer, je suis une liseuse compulsive; j'arrive à finir un livre très vite, je passe très vite d'un livre à l'autre mais comme souvent, l'un remplace l'autre dans ma tête, je fais les messages au fur et à mesure et je les mets en attente...

Alors voici le livre du jour: 

Deux meurtres spectaculaires sont perpétrés à Boston à six semaines d’intervalle. Les victimes sont des femmes seules, mutilées, à côté desquelles l’assassin a déposé une rose. L’inspectrice D.D. Warren décèle une similitude entre ces mises en scène macabres et une longue série de meurtres qui a défrayé la chronique à Boston quarante ans plus tôt. Leur auteur, Harry Day, s’est suicidé depuis. Seul recours pour D.D. Warren : se rapprocher de Shana et d’Adeline, les deux filles du tueur. Se pourrait-il qu’il y ait un lien entre elles et les récents crimes ? Peut-on échapper à son destin lorsqu’il est marqué du sceau de la mort ?

Une plongée stupéfiante au cœur d’un enfer familial : Lisa Gardner s’impose définitivement comme une virtuose du thriller psychologique.

Attention, âmes sensibles s'abstenir. Avec Gardner, c'est comme Minier, Thilliez ou Chattam, c'est du gore à l'état pur le plus souvent: des corps déchiquetés, lacérés, du sang en veux tu en voilà mais d'un autre côté, elle sait jouer sur le suspens et donc arrivé à la 50ème page, on a envie de savoir qui est l'assassin.

Quelque fois j'avoue que je trouve, mais cette fois, elle m'a bien fait tourner en rond et la fin n'était pas forcément prévisible. 

On se demande qui est vraiment le tueur de bout en bout: Adeline (qui cacherait bien son jeu, mais des révélations vont nous en apprendre de belles...), Shana (mais qui est en prison mais qui sait tellement de choses;  à moins qu'elle n'ait un complice), la directrice du pénitencier (on ne sait jamais, elle en sait beaucoup), le journaliste, un autre enfant caché, un policier, ou une autre personne? 

Bref, ne comptez pas sur moi pour vous le révélez, je vous laisserai lire l'histoire si cela vous intéresse.

Sur ce, passez une belle fin de journée et à bientôt. 

PS: je ne vais pas faire de post juste pour cela, mais pour info... J'ai voulu commencer ce livre dont la couverture m'avait interpellé mais au bout de 40 pages je l'ai laché, impossible de rentrer dans l'histoire. 

Danny et Maeve, un frère et une sœur unis par un amour indéfectible, ne cessent de revenir devant leur ancienne demeure se heurter aux vitres d’un passé douloureux. Cette imposante Maison hollandaise, écrin des joies et des peines de leur enfance, source de leurs malheurs, les attire comme un aimant. À travers le destin de ces deux quasi-orphelins, Ann Patchett, en déchiffreuse éclairée de l’âme humaine, signe un roman pénétrant sur l’abandon, le pardon, les liens filiaux et le rapport que chacun d’entre nous entretient avec le passé.

Bonjour, 

Comme le dit le titre, un ne change pas une équipe qui gagne. Et en ce moment celle qui gagne c'est l'équipe des pochons à lingettes démaquillantes.

J'en ai donc réalisé 2 nouveaux.

Le premier dans des couleurs très douces: vert et blanc crème. Je le trouve très "distinqué".

Le second, dans des teintes plus chaudes mais très joli également (vous me direz, c'est moi qui choisit les tissus, forcément, je vais trouver cela beau).

Les tissus, comme toujours, viennent de chez Anis et Bergamote (qui, pour ceux que cela intéresse, a déjà rentré des tissus pour Noël!)

Et vous lequel préférez-vous? 

Sur ce, je vous laisse profiter de la fin de votre journée, à bientôt! 

Bonjour, 

Il y a quelques jours, je vous ai parlé du livre Paradis Perdus.

Sitôt ce livre refermé, j'en ai pris un autre, totalement différent. (il faut dire que j'en ai réservé pas mal à la médiathèque et que je ne peux pas les garder xx semaines, il faut penser aux autres lecteurs.)

Le temps d'un été, Arthur et son petit-fils rattrapent les années perdues. Plus de 60 ans les séparent, mais ensemble ils vont partager les souvenirs de l'un et les rêves de l'autre. Le bonheur serait total si Arthur  ne portait pas un lourd secret.

Il est clair que cela n'est pas du tout le même genre de lecture. Avec Aurélie Valognes, on est dans la vie, la vraie, celle dans laquelle chacun peut se retrouver, un peu, beaucoup parfois selon ce qu'il vit ou a vécu.

Et puis cela se lit vite : 280 pages= une journée. Surtout que pour tout vous dire, actuellement, j'attends souvent Lilofé Junior qui passe des heures de code (mais à quelques dizaines de km de la maison, donc je ne rentre pas. Je sais certains vont me dire qu'elle pourrait aller plus près comme son frère mais ce serait trop long à expliquer. Alors je m'installe au bord du Rhône et je lis en attendant.)

Que dire de plus sur ce roman. Je ne suis pas transcendée à la fin, j'ai lu, j'ai passé un bon moment mais cela s'arrêtera là. Peut-être que si j'avais encore un grand père, je réagirai différemment. Je vous laisse donc juge. 

Sur ce, je vous laisse profiter de votre journée et à bientôt!  

Bonjour, 

Comme l'indique le gif en début de ce message, j'aime lire. Et j'aime découvrir, réfléchir également.

Lorsque j'avais lu Harari j'avais adoré. J'en parle souvent mais si vous ne l'avez pas lu, prenez un livre de lui, ou la BD qui a été faite ensuite, cela ouvrira sûrement les yeux de certains et encore plus dans la période que nous traversons.

Enfin tout cela pour dire que quand je vois le nom de Harari, je m'arrête. Et là en 4ème de couverture de ce roman, il est apparu!

Alors j'ai sauté sur ce livre (qui plus est, j'adore la couverture):  

Cette Traversée des temps affronte un prodigieux  défi : raconter l'histoire de l'humanité sous la forme d'un roman. Faire défiler les siècles, en embrasser les âges, en sentir les bouleversements, comme si Yuval Noah Harari avait croisé Alexandre Dumas. Depuis plus de trente ans, ce projet titanesque occupe Eric-Emmanuel Schmitt. Accumulant connaissances scientifiques, médicales, religieuses, philosophiques, créant des personnages forts, touchants, vivants, il lui donne aujourd'hui naissance et nous propulse d'un monde à l'autre, de la préhistoire à nos jours, d'évolutions en révolutions, tandis que le passé éclaire le présent.
Paradis perdus lance cette aventure unique. Noam en est le héros. Né il y a 8000 ans dans un village lacustre, au coeur d'une nature paradisiaque, il a affronté les drames de son clan le jour où il a rencontré Noura, une femme imprévisible et fascinante, qui le révèle à lui-même. Il s'est mesuré à une calamité célèbre : le Déluge. Non seulement le Déluge fit entrer Noam-Noé dans l'Histoire mais il détermina son destin. Serait-il le seul à parcourir les époques ?

562 pages en 2 jours de lecture, ça va...

Mais quand je vais aussi vite, c'est que cela me plait.

Je ne dirais pas que je retrouve Harari ou alors vraiment sur les 10 dernières pages mais j'ai plutôt retrouvé Auel (vous savez "les enfants de la Terre") et un peu de Marek Halter pour le côté biblique revu et corrigé. 

En tout cas j'ai trouvé ça bien écrit, prenant comme histoire: suivre l'histoire de Noam, chasseur cueilleur mais déjà un peu sédentaire (mais pas trop), ses amours avec Noura (mais pas que...), Panoam son père aimé, respecté puis..., Barak (mais là je ne veux pas trop vous en dévoiler sinon ce serait vraiment spoiler le livre), Tibor le guérisseur, Derek (mais qui est vraiment cet homme? ) 

Ok, il y a un peu de surréaliste vu que l'on apprend vite que le héros ne peut pas mourir. Mais je n'ai pas trouvé que cela gâchait l'histoire. Et puis la suite sortant en novembre, il fallait bien cela pour pouvoir continuer sur la lancée je pense. 

Le 4ème de couverture nous fait miroiter l'histoire de l'humanité mais ce livre ne raconte que le temps du déluge, Noam étant devenu Noé (pour ceux qui connaissent, on retrouve aussi un peu de l'histoire de Gilgamesh là dedans). Et au fait,  pourquoi parle-t-on de déluge alors que cela n'a été que la création de la Mer Noire (comme quoi le collectif peut vous faire avaler n'importe quoi du moment où le plus grand nombre le raconte encore et encore... ) 

En clair, vous avez tout de même compris que je vous recommande cette lecture. Quant à moi j'espère vraiment que la médiathèque achetera la suite. 

Sur ce, passez une belle fin de journée et à bientôt! 

Bonjour, 

Comme le titre l'indique, elle a continué sur sa lancée. Qui ça? Mais Lilofé Junior bien sûr.

Il faut dire qu'il y a quelques jours, nous avons fêté l'anniversaire de son frère, elle lui avait donc concocté une petite carte à sa façon.

Pour la petite anecdote, concernant les rouages en bois qui sont sur sa carte: elle avait dessiné les rouages qu'elle souhaitait, les avait donnés à découper à son père à la scie à chantourner.

Mais trouvant que zom n'allait pas assez vite (il a malheureusement aussi un travail, des occupations autres et les engrenages étaient vraiment petits), nous l'avons retrouvé un soir dans l'atelier, en train d'utiliser la scie toute seule comme une grande! Cela a beau être ma fille, elle m'épate toujours! 

Quant au texte à l'intérieur, nous avons d'abord cru qu'elle l'avait inventé mais elle n'a pas voulu se l'accaparer et nous a appris qu'elle l'avait trouvé sur le net. Par contre, elle n'a pas noté la source (avec toutes mes excuses pour l'auteur.)

Voilà, ce sera tout pour aujourd'hui. Passez une belle fin de journée et à bientôt!  

Bonjour, 

Je ne sais pas si vous le savez, mais pour la rentrée, le mot d'ordre c'est "lecture" dans les écoles. Ce n'est pas moi qui le dit mais M Macron: la lecture sera cette année une priorité car trop d'enfants rentrent encore en 6eme en ne sachant pas lire.

Il faut donner le goût de la lecture aux plus jeunes. On ne le croirait pas mais lire des histoires aux enfants dès leur plus jeune âge et pas seulement à l'école mais également (surtout?) à la maison les incite à prendre des livres, à lire et aide leur compréhension. Et la compréhension, c'est utile dans toutes les matières. Donc on lit, on lit et on relit. Voilà c'était le petit quart d'heure enseignement.

Enfin, ici, on aime lire et donc un nouveau livre aujourd'hui.

Vous le savez, je suis une fan de tout ce qui est tissus, rubans, fanfreluches alors quand j'ai vu le titre, je me suis dit super! 

Dans l'Allemagne de 1913, dans l'apparat d'une grande somptueuse maison bourgeoise, maîtres et domestiques se croisent et se côtoient, partageant joies, drames, secrets et amours interdites. La jeune orpheline Marie occupe le poste de femme de ménage dans l'imposante résidence de la famille industrielle Melzer. Alors que Marie cherche sa place parmi les domestiques, l’agitation règne lors de la saison du bal hivernal : Katharina, la belle et plus jeune fille des Melzers, doit être introduite en société lors de la saison du bal hivernal. Seul Paul, l'héritier de la famille, se tient à l'écart et préfère sa vie étudiante à Munich - jusqu'à ce qu'il rencontre Marie ... Tandis que la guerre approche, petite et grande histoire se mêlent, palpitantes, pour nous plonger au cœur d'une saga inoubliable.

Alors, il parait que ce livre est connu, voir assez connu. Pour ma part, je n'en avais pas entendu parler. 

Mais le titre m'ayant attiré, je l'ai emprunté à la médiathèque. 

Alors ne cherchez pas trop d'histoire de tissus là dedans. Oui Marie rentre comme fille de cuisine chez les Melzer qui ont une filature. Oui, elle va faire des robes pour ses maitresses mais cette partie de l'histoire occupe à peine 1/100ème du livre. Il y aurait eu la même chose si l'usine avait fabriqué des casseroles. 

Ce roman raconte surtout la vie de Marie, orpheline (mais est-elle vraiment orpheline et sait-on vraiment qui sont ses parents?) qui arrive comme fille de cuisine dans cette famille. Et pourquoi M Melzer souhaite-t-il tellement prendre soin (mais sans la montrer) de cette jeune fille? 

Pourquoi Marie deviendra-t-elle ensuite femme de chambre auprès de l'une des filles de la maison? 

Tout cela au milieu des amours de tous les protagonistes:

 - Katarina, la sublime qui fait chavirer tous les coeurs mais qui m'a fait un peu penser à la petite soeur de Elisabeth dans "Orgueil et préjugés" D'ailleurs pour ceux qui connaissent l'histoire, cela vous laisse un peu présager de ce qui va se passer.

 - Elisabeth (bien tiens...) la soeur ainée, un peu rondouillarde qui souffre de la beauté de sa soeur cadette.

 - Paul l'ainé, que son père prend pour un bon à rien mais qui va montrer au fil des pages qu'il n'en est pas tout à fait un... et qui va avoir bien sûr un coup de coeur pour Marie.

Et tout cela sur fond de départ de guerre mais je trouve que le côté historique ne ressort pas beaucoup. Peut-être dans le tome 2? Parce que bien entendu, c'est une saga qui compte apparemment 3 tomes (peut-être bientôt 4! Et oui, lorsque ça marche, autant faire durer la manne)

Sachez cependant que vous pouvez lire le tome 1 sans lire les autres, la fin permet de s'arrêter à celui-ci. 

Voilà, un petit roman (enfin presque 600 pages tout de même) qui pourra vous accompagner pour l'été. 

Je vous laisse, passez une belle journée et à bientôt.