Le temps passe trop, trop vite...

Bonjour, 

Comme le titre l'indique, le temps passe trop vite. Déjà un mois que je ne suis pas passée par ici. Mais comme je l'ai déjà dit, étant en formation (en plus de mon travail), j'ai peu de loisirs en ce moment. 

Mais j'ai beaucoup apprécie mes stages qui malheureusement sont finis. (il ne reste que la formation sur les jours non travaillés et bien sûr le travail perso! ). Je suis passée par plusieurs écoles du département, dont des maternelles. Et bien je vais vous dire: les maternelles, ils sont "petits"... C'est fou quand on travaille en élémentaire et qu'on n'a plus d'enfants en bas âge à la maison, comme on oublie vite la taille des "petite section". 

Mais je n'oublie pas le blog pour autant. 

Voici donc les dernières lectures terminées sur ce mois (il n'y en a que 2 mais les autres livres lus sont purement professionnels et bien que très intéressant, ils n'auraient pas leur place ici).

En replongeant dans une affaire non résolue datant des années 1980, Carl Mørk et l'équipe du Département V découvrent avec stupeur que depuis trente ans, un tueur particulièrement rusé choisit avec une régularité effrayante une victime et l'élimine en déguisant ce meurtre en accident ou en suicide. À chaque fois, sur le lieu du crime, un petit tas de sel.Sur fond de restrictions sanitaires dues au Covid-19, Mørk et ses acolytes se lancent dans une enquête dont ils n'imaginent pas l'ampleur.

D'habitude Olsen j'adhère de suite. Et bien là, il faut croire que nous nous sommes loupés. Je trouve ce livre long... mais long... J'ai eu du mal à rentrer dans l'intrigue et à la fin, il y a une jolie "coquiile". Un homme enlevé et qui avoue à son assassin quelque chose qui a été découvert après son enlèvement. Je ne sais pas si l'auteur a bien relu, mais moi j'ai recherché et cela ne colle pas du tout. 

Je pense qu'à un moment, les auteurs devraient se renouveller un peu et ne pas vouloir sortir 1 livre par an. 

Conte moderne au regard acéré, centré sur le combat de Léo contre l'illettrisme, le nouveau roman de Cécile Ladjali ouvre une voie imprévue et poétique sur l'invisible déficience d'un jeune homme d'une grande pureté, sensible au monde et aux autres, qui tente de renouer avec l'infinie et prodigieuse conquête du langage.

Ce livre raconte l'histoire d'un jeune homme qui ne sait pas lire. On se pose souvent la question de comment, de nos jours, on peut encore ne pas savoir lire (école obligatoire, aide personnalisée...). Mais ce roman pose surtout le doigt sur la possibilité de passer à côté de ses apprentissages lorsque d'autres soucis font que tout le reste parait dérisoire. Et ceci je peux l'entendre. Nous en voyons tous les jours, à l'école, des enfants qui ont des soucis familiaux, de santé... et qui sont tellement obnubilés par cela qu'ils ne peuvent pas se poser en classe malgré toute notre aide. 

Enfin pour parler plus de la forme que du fond sur ce roman, je dirais que j'ai aimé mais... car il y a un mais. Je l'ai trouvé difficile à lire. Je ne sais pas si l'auteur a voulu trop détailler, trop interpreter, se vouloir trop "lettré" justement mais le vocabulaire m'a semblé compliqué pour rentrer dans l'histoire. Comme le roman était court, je l'ai fini et j'avoue que la fin m'a un peu refroidie... Je ne veux pas plus vous en dévoiler. Je suis donc restée mitigée entre une belle histoire mais une écriture qui aurait peut-être méritée d'être faite autrement. 

Voilà ce sera tout pour aujourd'hui. 

Je vous laisse vaquer à vos occupations. Pour moi ce sera préparation de ma semaine, repassage et peut-être un peu de couture mais chut, je ne vous en dis pas plus. Vous le verrez assez vite.

Comments

[Sissi94]

Merci de ne pas nous oublier.

Bonne lecture et à bientôt.

Sylvie