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L'antre des Fées
23 octobre 2023

si vous avez du temps...

 Bonjour ami(e)s lectrices et lecteurs, 

Aujourd'hui alors que pour certains les vacances commencent (mais pas pour tous malheureusement), je reviens avec 6 livres lus et un survolé. 

Et il y a de tout: du polar, du gore, de la saga familiale, du "un peu drôle décalé"... 

Bref une bonne petite tartine à se mettre sous la dent.

Je sais, je sais, il faut aussi que je vous vienne vous montrer mes avancées en broderie mais le temps ne se prête pas aux photos actuellement. Mais j'essaye, promis.

Sur ce, si vous aimez la lecture et bien justement bonne lecture de mes critiques! Pour ceux que cela n'intéressent pas (et les autres aussi bien sûr), passez une belle journée! A bientôt!

Les ombres d'Adelaide HillsAdelaide Hills, 1959. Une après-midi de grande chaleur, un homme fait une terrible découverte au mystérieux domaine des Turner. Une enquête policière est ouverte, et la petite ville de Tumbeela est impliquée dans l’une des affaires de meurtre les plus choquantes de l’histoire de l’Australie du Sud.Soixante ans plus tard, Jess, journaliste à Londres, est à la recherche d’un sujet. Quand elle reçoit un appel de Sydney pour l’informer que sa grand-mère est à l’hôpital à la suite d’une chute, la jeune femme décide de rentrer en Australie auprès de celle qui l’a élevée.Pour la première fois livrée à elle-même dans la maison de son enfance, Jess s’aventure dans des pièces qui lui étaient interdites et découvre le secret qui unit la tragédie des Turner et sa propre famille.Avec l’immense talent qu’on lui connaît, Kate Morton tisse un page-turner envoûtant qui explore le destin de femmes liées par la force de l’amour et le poids des secrets.

De Kate Morton, j'avais déjà lu "La prisonnière du temps" et même si, à l'époque, j'avais trouvé ce roman assez bon, j'avais, par contre, été un peu freinée par l'écriture assez "longue" et le temps perdu pour arriver au dénouement final.

Je m'étais alors posée la question de reprendre un livre de la même auteure. Mais voilà, tout comme il ne faut jamais dire "fontaine, je ne boirai pas de ton eau", il ne faut pas dire "auteure, je ne reprendrai jamais un de tes romans" (surtout quand on ne lit que le début du 4ème de couverture et qu'on ne fait pas attention à qui a écrit le livre :-) )

J'ai pris un peu peur en voyant arriver un pavé de plus de 700 pages et, je l'ai pesé, de 1kgs300 mais comme rien ne me rebute en lecture, je l'ai commencé.

Le début était très prometteur:

- une famille morte: comment? Pourquoi?
- une jeune fille qui revenait sur les lieux de son enfance: pour y découvrir quoi? comment?
- de qui parlait-on à la fin du 1er chapitre? (parce que si ce chapitre était là, ce n'était pas un hasard...)
Mais voilà, au bout de 250 pages, je pensais bien avoir compris le fin mot de l'histoire, en tout cas en ce qui concerne le lien qui unissait toutes les femmes du livre.

De plus, le livre commençait à peser (autant sur mes bras que sur mon engouement il faut bien le dire). Et c'est d'ailleurs à ce moment là que je me suis souvenue du 1er livre lu de l'auteure et de ma critique à son sujet.

Mais j'ai voulu le continuer car je n'avais pas la solution à toutes les énigmes du livre. Et j'ai bien fait car à la 450ème page, j'avais du mal à le lâcher. Les informations ont commencé à s'enchainer et à chaque fois relançaient le suspens.

Quant au final, il est très surprenant. Je ne m'attendais pas du tout à cela (peut-être que certains lecteurs l'avaient deviné mais pour ma part, je ne m'en doutais pas du tout).

C'est donc un livre à lire pour ceux qui aiment les sagas familiales sur plusieurs générations et qui ont un peu de temps devant eux pour dévorer ces 700 pages.

A prendre ou à laisserLionel Shriver met toute son ironie, son acuité et sa tendresse dans cette nouvelle bombe de provocation. Hilarante et touchante, une œuvre explosive doublée d'une réflexion mordante sur notre rapport à la vieillesse et sur l'art délicat de préparer sa sortie.Pendant dix ans, Kay a assisté son père atteint de la maladie d'Alzheimer. À la mort de ce dernier, le soulagement l'emporte sur la tristesse et une question surgit : comment gérer sa propre fin de vie ?Une discussion avec son mari Cyril, quelques verres de vin et les voici qui en viennent à nouer un pacte. Certes, ils n'ont que cinquante ans, sont en bonne santé et comptent bien profiter encore de leurs proches, mais pas question de faire peser sur ceux-ci et sur la société leur inéluctable déliquescence. C'est décidé, le jour de leurs quatre-vingts ans, Kay et Cyril partiront ensemble.Le temps passe et voici qu'arrive la date fatidique.Une date, douze possibilités et une conclusion : dans la vie, tout est à prendre ou à laisser...

Lorsque j'ai lu le 4ème de couverture, je me suis dit que j'allais pouvoir lire un roman un peu humoristique ce qui aurait fait du bien par ces temps plutôt morose. 

Alors je pense qu'on peut y trouver de l'humour mais je trouve que Lionel Shriver, qui comme son nom l'indique bien est ... une femme!, a voulu aller plus loin que l'humour dans cette fiction. Et j'avoue qu'alors que je viens de souffler mes 50 bougies, ce roman a comme une petite résonnance en moi. 

Alors loin de moi l'idée de passer un pacte avec mon mari qui a, à 8 mois près, le même âge que moi, pour réaliser un suicide collectif à nos 80 ans, mais j'avoue que cela fait énormément réfléchir sur la période correspondante à notre fin de vie.

Ce qui est sympathique dans ce livre c'est qu'une fois la première partie terminée et le pacte bouclé, 12 chapitres vont se succéder avec, dans chacun d'eux, une théorie de ce qui pourrait se passer après cette discussion. Car bien sûr, au bout de 30 ans, vous imaginez bien que rien ne peut se passer comme prévu. Dans certaines théories, l'auteure imagine des futurs probables de notre société et c'est là où le livre peut encore plus faire réagir car certaines théories pourraient être envisageables... Je dis bien pourraient.

Au final, au lecteur de choisir la fin qu'il apprécie le plus mais peut-on vraiment choisir quand la mort de 2 personnes est en jeu? Grave questionnement qui rejoint une point crucial de notre société actuelle: comment aider au mieux nos ainés à finir leur vie décemment et dans de bonnes conditions.  

La petite ritournelle de l'horreurDerrière les murs se cache le plus sombre des secrets...Quand la commandant Virginie Sevran reçoit un appel à deux heures du matin, elle sait qu'elle doit s'attendre au pire. Rien, pourtant, ne peut la préparer à ce que lui réserve la vieille bâtisse dans laquelle les techniciens de l'identité judiciaire sont déjà à l'œuvre, à cette découverte du cadavre d'une gamine, derrière une cloison que le nouveau propriétaire tentait d'abattre. Et, bientôt, les murs confient deux autres corps aux policiers. Deux autres enfants... Rapidement, la sidération laisse place à une enquête éprouvante. Certainement la plus sordide de toutes celles auxquelles la commandant et son binôme, Pierre Biolet, ont été confrontés durant leurs carrières. Que s'est-il réellement passé dans la maison des Mesnuls, aussitôt rebaptisée la maison de l'horreur par les médias ?

Le 4ème de couverture de ce roman nous indiquait que nous allions être dans l’horreur. Ce fut le cas car comment peut-on faire autant de mal à des enfants ? Tout le long du livre que ce soit dans le passé ou dans le présent, ce livre parle de sévices subis par ces jeunes qui déjà anéantis par la vie vont être livrés aux mains de tortionnaires et que personne, malgré leurs demandes, ne viendra aider.

Cela vous prend « aux tripes » en se disant que cela pourrait être les nôtres et que, malheureusement, tous les jours, certains vrais enfants doivent subir pareilles atrocités.

Parlons maintenant du livre proprement dit et de l’histoire qui se déroule sous nos yeux. Au départ, je me suis un peu embrouillée avec tous les personnages et il y en a beaucoup. D’ailleurs, je me pose la question en refermant le roman de pourquoi avoir donné autant d’importance (chaque chapitre porte le nom d’un des protagonistes de l’histoire) à certains alors que même arrivée à la fin, je ne saurai pas grand-chose d’eux et que tant de questions resteront sans réponse. (je pense, sans vouloir spoiler le livre, à Damien et Emilie par exemple).

Ensuite l’enquête : elle est relativement bien menée mais était-il nécessaire d’emmener les personnages jusqu’à Singapour ? Je trouve cela un peu outrancier. L’auteure aurait pu rester sur le sol français sans que cela entache l’histoire.

Tout cela pour au final un point de vue un peu mitigé : de bonnes choses qui en font un bon polar «gore » mais des imprécisions et des idées un peu inutiles.

Et pour terminer, en me relisant, je me pose une question : « pourquoi, alors que tout un chacun nous trouvons que ces crimes sont odieux et répugnants, continuons nous de lire ces livres ? »

Ou : « Pourquoi depuis tout temps, la mort des gens de façon cruelle (pendaison, écartèlement pour ne parler que d’eux au Moyen-Age et d’autres moyens plus ignobles tout au long de l’histoire de l’humanité) attire-t-elle les foules ? Pourquoi les gens sont si avides de cruauté dans les médias ? Pourquoi les émissions de téléréalité font-elles autant d’audimat quand les gens se « tapent dessus » ?  A croire que nous avons tous un côté voyeurisme, voir pire, caché en nous !

Vaste débat…

Le bureau des affaires occultes tome 3 ,les nuits de la peur bleue

Printemps 1832. Une épidémie de choléra terrorise la population parisienne. La « peur bleue », comme on l'appelle, provoque des centaines de morts et suscite les plus folles rumeurs. Sinistre hasard : une série de meurtres atroces décime au même moment le quartier pauvre de Saint-Merri. Les victimes sont poignardées avant d'être amputées d'un organe.Qui peut tuer ainsi, prélevant poumon, foie ou rein ? Un maniaque ?Face au risque de panique, l'inspecteur Valentin Verne explore toutes les pistes. Secondé par Aglaé et deux récentes recrues, l'Entourloupe, escroc repenti, et Tafik, ancien mamelouk des armées napoléoniennes, il traque la vérité dans les rues de Paris et ses recoins les plus obscurs.Une nouvelle enquête de l'inspecteur Valentin Verne, le génial créateur du Bureau des affaires occultes, où la science flirte avec le vice et le crime.

J'avoue ne pas trop savoir quoi dire à propos de ce livre. Je m'explique. Nous avions, avec mon mari, bien aimé les tomes 1 et 2 et donc nous avions proposé à notre médiathèque l'achat du tome 3. Ce qu'elle a fait et nous en avons été les premiers bénéficiaires. 

Mais je suis un peu mitigée à la fin de ce 3ème opus.

Plusieurs choses m'avaient plus dans cette série:

- le fait que l'auteur nous donne des détails historiques sur une période un peu méconnue de l'histoire (bien que le tableau "La liberté guidant le peuple" soit très célèbre, peu de gens le relient à cette époque et il est souvent difficile de s'y retrouver parmi toutes les formes de gouvernement qui se sont succédées à la fin du 18è, début 19è siècle)
- le fait de lier enquête et nouveautés scientifiques de l'époque, avec souvent un petit côté ésotérique (les débuts du spiritisme, de la photographie, des hologrammes, l'hypnose...)
- une polar pas trop sanglant ou alors juste dans l'imagination et non pas avec moults détails sanguinolants et "gore"
 - et pour finir l'histoire à suivre de ce jeune inspecteur, beau, cultivé et pourtant si sombre par certains côtés.

Oui mais voilà, dans ce tome 3, beaucoup de détails historiques ont déjà été donnés, et je trouve que le côté scientifique et l'enquête sont un peu mis de côté par rapport à la vie des protagonistes. 

Au final je n'ai pas retrouvé le suspens des enquêtes que j'avais trouvé dans les autres tomes et dans le même temps, le tome 2 ayant donné beaucoup d'informations sur la vie de Valentin, je trouve que dans celui-ci en donne trop peu. 

Je l'ai terminé car il était bien écrit et que cela m'a permis d'avoir de nouvelles informations mais j'avoue être restée un peu sur ma faim. 

Ali Baba et les 40 voleurs (contes interdits)Une trappe, camouflée dans la forêt, qui n'aurait jamais dû être découverte. Une promesse trop difficile à tenir. Un trésor que l'horreur seule pourrait séparer. Et une vague vengeresse, qui s'apprête à déferler.

C'est le troisième conte interdit que je lis et je me lasse un peu, enfin lasser n'est pas le terme, je trouve que la revisite n'est pas toujours très "créative" et quitte à avoir du "gore", du "sanglant" et du "sexe", je préfère lire un roman un peu plus approfondi. Je me dis que ces livres, même s'ils sont notés pour un public averti, sont ce qu'il faut à de jeunes adultes, pas très branchés "gros pavés de 600 pages" mais qui voudraient lire autre chose que des BD ou des mangas. 

Mais revenons à notre histoire. Quand on me parle d'Ali Baba, j'ai tout de suite l'histoire en tête mais j'ai également, qui me vient à l'esprit, Fernandel et son air débonnaire dans le film du même nom. (film de 1954 que les plus jeunes ne connaissent peut-être pas forcément mais que, pour ma part, j'adore regarder quand il passe à la TV.).

Les Ali Baba que l'on peut retrouver dedans sont tout ce qu'il y a de plus gentil, sympathique, altruiste. Alors découvrir dans ce roman un Ali Baba grossier, ivrogne, voleur, violeur et assassin... Cela m'a fait un choc. Mais n'est-ce pas le but de ces contes interdits, mettre le lecteur à l'envers. 

Alors on y croisera tout de même les 40 voleurs, voir plus, Cassim le frère d'Ali et la "grotte" aux merveilles qui s'ouvre grâce au célèbre "Sésame ouvre-toi". 

Que dire de plus, à part que la dernière partie est plus "prenante" si l'on peut dire que la première. 

Je ne vois pas quoi ajouter de plus, vous en déduirez donc le sentiment qui m'a animé en tournant la dernière page. Au livre suivant et vite... 

Les allumettes suédoisesSur les pentes de Montmartre, un enfant de dix ans, Olivier, erre le jour et aussi la nuit dans ce vieux quartier de Paris du début des années 30. Sa mère, la belle mercière, vient de mourir et il vit en partie chez le jeune couple formé par ses cousins Jean et Elodie, mais surtout dans les rues de ce temps-là, vivantes, souriantes, animées. C'est là qu'il rencontre une multitude de personnages populaires qui vivent et se croisent sous son regard vif, émerveillé, parfois mélancolique. Soumis à toutes sortes d'influences, cet enfant verra peu à peu la féerie des rues effacer sa peine et sa solitude.C'est une ville inattendue qui apparaît alors, un Paris différent de celui que nous connaissons, des coutumes changées, une autre manière de vivre. Merveilleux roman plein de fraîcheur et de charme, de tendresse et d'humour, Les Allumettes suédoises reste l'un des plus grands succès de ces dernières années.

Apparemment ce livre était très connu alors comme je ne l'avais pas encore lu, je me suis dit que j'allais le commencer. 

Au départ, je me suis dit :"chouette, un style à la Marcel Pagnol et La gloire de mon père mais avec l'histoire d'un petit parisien habitant Montmartre."

Et puis les pages se sont tournées et tournées encore. Je découvrais des personnages certes haut en couleurs mais pas franchement d'intrigue, juste une suite de petites anecdotes et encore. De plus n'ayant jamais vécu à Paris et n'ayant QUE 50 ans, beaucoup de personnalités citées dans le roman me sont totalement étrangères. 

A la moitié, je me suis demandé si j'arrêtais ma lecture ou si je continuais. Je me disais que ce livre était tellement reconnu en France qu'il devait bien y avoir une raison alors j'ai voulu arriver à la fin, espérant y trouver un peu plus de plaisir de lecture. Mais en fait non. Je le repose déçue en me disant qu'encore une fois la grande littérature ne doit pas être faite pour moi puisqu'à chaque fois que je prends le roman d'un auteur encensé par ses pairs (comme M Sabatier qui a fait partie de l'académie Goncourt entre autres) je n'y trouve rien de bien intéressant. 

Je crois que je devrais rester sur de la lecture tout public, peut-être plus accessible à la commune des mortels que je suis car je ne dois pas arriver à la hauteur de compréhension des grands de ce monde. 

 Commencé et terminé en diagonale:

la colline aux gentianesRetiré dans un petit village de l'ouest de l'Angleterre, Zachary, déserteur de quinze ans qui ne supporte plus l'horreur de la vie à bord, tente d'oublier ses peurs ― et de se faire oublier. C'est sur la "Colline aux Gentianes", une butte surmontée d'une chapelle au-dessus du port de Torquay, où les marins ont l'habitude d'aller en pèlerinage, que le garçon rencontrera la petite Stella, douze ans, fille adoptive d'un couple de paysans. Tous deux rêvent d'une autre vie et d'autres contrées. Sur fond de guerres napoléoniennes, l'auteur se fait ici le chantre des âmes en peine, des exclus, et nous suggère en douceur que la vie est ailleurs. La Colline aux Gentianes est l'un des plus grands romans d'Elizabeth Goudge et se situe dans le droit fil des Hauts de Hurlevent.

J'adore les romans des soeurs Bronté ou de Jane Austen alors forcément quand j'ai vu écrit sur le 4ème de couverture : se situe dans le droit fil des Hauts de Hurlevent, j'ai commencé ce livre!

Le début était prometteur: en effet, un style un peu ancien, beaucoup de vocabulaire qu'on ne trouve plus dans les ouvrages actuels car peu connu (d'ailleurs vous saviez que les livres de la bibliothèque rose ont tous été réécrits au passé composé et que des mots ont été changés pour que les jeunes générations les comprennent mieux. Je trouve cela bien dommage car si on ne rencontre pas le passé simple et des mots plus complexes dans la littérature, forcément on ne les utilisera plus dans la conversation et les jeunes ne sauront plus s'en servir. Enfin là je m'égare un peu et m'écarte du sujet...)

Donc comme je le disais, beaucoup de vocabulaire, un style plus élevé que les romans actuels, je me suis dit que j'avais fait bonne pioche. 

Seulement voilà, quand au bout de 120 pages, vous avez l'impression de ne pas avancer d'un pouce dans l'histoire, cela refroidit quelque peu... J'ai poussé jusqu'à la 150ème page en me disant que l'action allait commencer, mais non. Sachant qu'à ce niveau, je m'attendais à une fin totalement prévisible.

Donc voulant tout de même le terminer, je l'ai lu en diagonale, sautant des pages entières. Et quand je vous disais que l'histoire n'avançait pas, c'est que même en effectuant ces sauts, j'ai pu comprendre ce qui se tramait. De plus,la fin était exactement celle que j'attendais, aucun suspens....

En tout cas, un peu (beaucoup) déçue par ce roman dont j'attendais mieux au vu du 4ème de couverture et des avis qu'on pouvait lire sur lui. Pour ma part, je lui attribue une note très basse. 

 

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Commentaires
S
Bonne lecture pendant les vacances.<br /> <br /> Sylvie
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L'antre des Fées
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