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L'antre des Fées
15 décembre 2023

lecture quand tu nous tiens....

 Bonsoir, 

Eh oui, après 3 messages autres, il fallait bien retrouver un peu de lecture. Vous ne croyez tout de même pas que je ne lis plus...

Aujourd'hui: 7 livres lus (enfin 6+1) et 2 entamés mais non terminés.

 Bonne lecture et à bientôt!

Le défi de Jérusalem« Marcher là-bas, où tout a commencé. »Après La Nuit de feu, où Éric-Emmanuel Schmitt décrivait son expérience mystique dans le désert du Hoggar, il revient aux sources avec ce récit de voyage en Terre sainte, territoire aux mille empreintes. Bethléem, Nazareth, Césarée, lieux intenses et cosmopolites qu'il saisit sur le vif tout en approfondissant son expérience spirituelle, ses interrogations, réflexions, sensations, étonnements jusqu'à la surprise finale, à Jérusalem, d'une rencontre inouïe avec ce qu'il nomme « L'incompréhensible ».Dramaturge, romancier, nouvelliste, essayiste, cinéaste, traduit en 48 langues et joué dans plus de 50 pays, Éric-Emmanuel Schmitt est un des auteurs les plus lus et les plus représentés dans le monde. Membre depuis 2016 de l'académie Goncourt, il prolonge ici sa réflexion sur la foi, inaugurée avec La Nuit de feu (2015).

J'ai découvert Schmitt par sa série "La traversée des temps" dont j'attends, c'est le cas de le dire, la suite avec impatience.

Je pensais ici, trouver un roman à l'identique mais je m'étais lourdement trompée. Ce roman, je dirais plutôt un carnet de voyage, retrace le périple de l'auteur sur les traces de Jésus de Nazareth en Terre Sainte.

J'ai énormément appris sur EE Schmitt dans ce livre, notamment sur sa foi que je ne pensais pas si importante pour un auteur tel que lui. En fait, on découvre qu'on peut être croyant sans être pratiquant et que cette foi peut être aussi, voir plus intense que tout ce qu'on peut ressentir en allant communier chaque dimanche. 

J'ai eu l'impression de suivre son cheminement dans les différentes haltes qu'il a effectué. Moi qui ne connais pas ce pays, cela m'a presque donné envie d'y réaliser un séjour (même si en ce moment, on ne peut pas dire que ce soit justement le moment). 

J'ai également beaucoup aimé ses retours sur les monuments érigés aux endroits clés de la vie de JC. Cela m'a rappelé une étape de voyage à Lourdes et toute cette profusion d'or et d'enluminures avec un arrêt minute dans la grotte, si petite face à toutes ces églises et basiliques. Sur ce sujet, nous sommes bien raccord avec l'auteur et comme je dis souvent "si Dieu existe, il voit aussi bien les gens prier dans leurs jardins ou leurs maisons qu'agenouillés dans une église". Mais chacun vit sa foi à sa manière du moment où cela ne dérange pas les autres n'est-ce pas? 

J'ai aussi retenus nombres d'anecdotes historiques et c'est ce que j'aime dans la lecture d'un livre : le côté romancé lié à l'apprentissage. 

EE Schmitt a une écriture facile à lire. Cela me surprend toujours quand on sait qu'il appartient à l'Académie Goncourt. (moi qui n'arrive jamais à lire des livres ayant obtenu des prix littéraires de renom, bizarre).

Après, ce qu'il raconte, on y croit ou pas, comme il le dit lui-même: la foi est un mystère, non une énigme qu'on peut tenter de résoudre.

En tout cas un bon moment passé avec cette lecture un peu philosophique... Et avis à l'identique du côté de zom qui a voulu aussi le lire. 

Et pour finir, une petite citation : 

Chaque religion met une vertu en avant: le respect pour les Juifs, l'amour pour les Chrétiens, l'obéissance pour les musulmans, la compassion pour les Bouddhistes.
Des quatre, la proposition chrétienne s'avère la plus folle. Quoi, aimer tout le monde? .... Les étrangers, les salauds, les avares, les traitres, les indifférents? ..... Cela relève de l'impossible.

les mangeurs de nuitHannah est une Nisei, une fille d'immigrés japonais. Si son père l'a bercée de contes nippons, elle se sent avant tout canadienne ; alors pourquoi les autres enfants la traitent-ils de « sale jaune » ? Jack, lui, est un creekwalker, il veille sur la forêt et se réfugie dans les légendes autochtones depuis le départ de son frère à la guerre. Le jour où l'ermite tombe nez à nez avec un ours blanc au coeur de la Colombie-Britannique, il croit rêver - la créature n'existe que dans les mythes anciens. Pourtant, la jeune femme inconsciente qu'il recueille semble prouver le contraire : marquée des griffes de la bête, Hannah développe d'étranges dons à son réveil. Des années 1920 à l'après-guerre, Marie Charrel brosse le portrait d'une Amérique du Nord où la magie sylvestre s'enchevêtre à la fresque historique. Contes japonais et légendes indigènes se lient dans une fabuleuse ode à la nature et à la fraternité.

Je sens que je vais me faire huer pour ma critique sur ce livre. Mais attention, comme je le dis toujours, mes commentaires ne concernent que mon propre ressenti et ce n'est pas parce qu'un livre ne plait pas à une personne qu'il ne plaira pas à une autre. Qui plus est, je ne vais pas être catégorique vis-à-vis de celui-ci car j'y ai trouvé du bon et du mauvais. (si j'osais je dirais qu'il est nippon ni mauvais. Ok elle est mauvaise je l'avoue).

Quand j'ai lu le 4ème de couverture, je m'attendais bien à ce que j'ai trouvé, un mix entre culture asiatique et amérindienne. J'ai également apprécié d'en apprendre plus sur ces Nisei et Isei, ces japonais nés ou venus en Amérique avant la guerre 39-45 et qui se sont retrouvés ghettorisés durant celle-ci du fait du conflit entre le Japon et l'Amérique. On parle souvent des ghettos juifs mais on oublie aussi ce qu'on du endurer les japonais en Amérique mais aussi les américains dans le Pacifique et les personnes retenues dans les goulags soviétiques. La cruauté humaine ne se résume pas à une seule nation, il suffit pour cela de regarder le journal télévisé chaque jour. Les peuples n'ont toujours pas compris que notre couleur de peau ou notre religion ne font pas de nous autre chose que des êtres humains et que, de toute façon, toutes les religions ont la même base et la même finalité. 

Mais revenons au livre... Ce livre est très bien écrit, l'auteure utilise les mots justes pour nous faire ressentir ce que vivent les protagonistes et nous emmener sur leurs traces dans les lieux où ils résident. Au départ, il m'a d'ailleurs fait penser au livre " La patience des traces" de Benameur. Mais voilà, malgré toute cette poésie, je n'ai pas réussi à rentrer dans cette histoire. Elle ne m'a pas "transcendé". Je pense que ce n'était peut-être pas le bon moment pour la lire et puis surtout les différents sauts dans le temps m'ont quelque peu déstabilisé et j'ai souvent dû revenir en arrière pour arriver à comprendre si la partie de l'histoire entre Hanna et Jack se situait avant, pendant ou après le reste. Je me suis posée plusieurs fois la question de savoir quels étaient les âges des différentes personnes à tel ou tel moment du livre. Et je crois que ces différentes époques entremêlées ne m'ont pas permis d'apprécier ce livre à sa juste valeur (étant donné que la plupart des gens qui le lisent l'ont encensé). Après tout ne peut pas plaire à tout le monde et il en faut pour tous les goûts.

Les 7 soeurs, dernier tome1928, Paris.

Un jeune garçon est découvert, presque mort, au détour d’une ruelle. Doux et talentueux, il devient bien vite un membre à part entière de la famille qui l’a recueilli et découvre à son côté l’amour et la musique au conservatoire de Paris. Mais dans une Europe en proie aux heures sombres de son histoire, il sait qu’il devra fuir un jour, porté par une ancienne promesse.

2008, sur la mer Égée.
Alors que les sept sœurs sont réunies pour la première fois à bord du Titan pour un dernier hommage à Pa Salt, elles découvrent que le père qu'elles aimaient tant leur a dissimulé une grande partie de son passé et que les secrets qu'il a emportés avec lui pourraient bien changer leur avenir à jamais.

 Cela faisait plusieurs mois que j'attendais ce livre que j'avais réservé auprès de ma médiathèque pour enfin finir cette série des  7 soeurs. Si vous vous rappelez mes critiques sur les livres de la série, j'avais été un peu emballée au début par des livres qui alliaient le côté romance et le côté historique mais au fil des tomes, l'engouement s'était essoufflé du fait de la récurrence des histoires. 

Mais il était tout de même important pour moi de lire ce dernier opus pour comprendre qui était le père des 7 soeurs et quel secret il pouvait bien cacher. Et bien j'ai été servi puisqu'on découvre enfin les origines de cet homme et comment il s'est retrouvé avec 6 filles adoptives sur les bras. Et le fils de Lucinda Riley qui a "co-écrit" ce livre grâce aux notes de sa mère décédée a été très judicieux. En effet, il est quasi impossible de lire ce livre sans avoir lu les autres mais une fois celui-ci reposé, on est tenté de retourner lire les autres pour y découvrir ce qu'on n'y avait pas forcément vu. (je ne veux pas trop vous en dire plus pour ne pas spoiler). D'un autre côté, c'est vraiment romancé car forcément, quand tout va mal, il y a toujours quelqu'un pour vous aider et la fortune sourit aux audacieux, etc.. (Oui, à chaque fois qu'il aura un coup dur, Atlas tombera sur des gens charmants qui l'aideront, le soutiendront, le logeront... Est-ce qu'on trouve encore ce genre de personnes de nos jours? Bonne question)

On découvrira aussi dans ce tome pourquoi Atlas est entouré de Marina ou de Georges pour ne citer qu'eux et pourquoi il est si secret. 

Au final un bon roman assez prenant si on aime ne pas se prendre la tête. (en clair ce n'est pas un Goncourt mais ça permet de passer du bon temps).

Oh Happy DayAprès quatre ans de silence et ce qu'il appelle son " grand malheur ", Pierre-Marie Sotto décide d'écrire à Adeline Parmelan au sujet d'un certain carnet qu'il aurait laissé chez elle. Est-ce un prétexte pour reprendre contact avec celle qu'il n'a jamais oubliée depuis leur rupture ? En ce cas, le moment paraît très mal choisi. Occupée par son prochain déménagement vers le Canada avec l'homme qui partage désormais sa vie, Adeline a bien d'autres projets en tête que de renouer avec lui.
Seulement, c'est sans compter sur le lien indéfectible qui les attache l'un à l'autre. De surprises en confidences, leur correspondance va les entraîner dans un tourbillon inattendu d'émotions.

J'avais beaucoup aimé le 1er opus des aventures de Pierre-Marie et Adeline, tellement qu'à la fin, je m'étais dit que je ne lirais pas la suite pour ne pas être déçue (?). Et puis les mois ont passé et je me suis dit "pourquoi pas?".

Alors on retrouve avec joie nos 2 protagonistes (et leur entourage) qui bien que plus âgés (surtout pour Pierre-Marie) n'ont pas pris une ride. 

On retrouve également le ton et l'humour (noir quelque fois) de leurs correspondances. Mais contrairement au 1er roman, il n'y a pas, dans ce livre, que la correspondance par mail mais également l'histoire qui se déroule entre chaque envoi. Je crois que cela m'a laissé un peu sur ma faim car, autant dans le 1er, j'avais aimé attendre de savoir, autant dans celui-ci, on savait toute l'intrigue au fur et à mesure. Et puis que de rebondissements entre 2 continents différents, cela n'était-il pas un peu trop,je me le demande mais au final, j'ai passé un bon moment de lecture. (même si j'ai vraiment préféré le 1er).

AtomKaLucie Henebelle et Franck Sharko, policiers dans la fameuse section criminelle du 36, Quai des Orfèvres, tentent de se remettre d'un drame qui a failli les séparer. Ils essaient de faire un enfant, en vain. Et à quelques jours de Noël, ce qui les attend est loin d’être l’annonce d’un heureux événement. À l’heure où tout le monde rentre se réchauffer, le froid, la mort et les souvenirs maudits guettent. Une affaire d'envergure démarre alors. Christophe Gamblin, journaliste de faits divers, est retrouvé mort de froid, enfermé dans son congélateur. Sa collègue et amie a disparu, alors qu'elle enquêtait sur un gros dossier dont personne ne connaît le contenu. Sa seule trace est son identité griffonnée sur un papier, détenue par un enfant errant, très malade, aux organes déjà vieillissants. En parallèle, une ancienne affaire de femmes enlevées refait surface : des victimes jetées vivantes dans des lacs quasi gelés, et secourues in extremis par des coups de fil mystérieux à la police. Tandis que l'enquête s'accélère, Sharko est confronté à de vieux démons. Une ombre évolue dans son sillage, jouant avec lui, et semblant particulièrement lui en vouloir. Un duel secret et cruel s'engage alors, détruisant le flic à petit feu.

Thilliez, on connait, c'est du polar un peu sanglant... Et celui-ci n'a pas failli à sa réputation. On retrouve également un peu des thèmes chers à Minier: la glace, le froid. Donc maintenant qu'on sait où on va, passons à l'intrigue.

L'idée de départ est intéressante: un journaliste tué dans un congélateur, des femmes enlevées et retrouvées mortes ou vivantes après avoir été plongées dans de l'eau glacée, un lien avec des enfants séquestrés avec en fond l'histoire de Tchernobyl. L'enquête est bien menée mais la fin, est, je trouve, trop "compliquée". En effet, en moins d'une semaine, les enquêteurs vont se déplacer en Amérique du Sud, en Rhône Alpes, à Paris bien sûr, mais aussi en Pologne, rencontrer bien trop de protagonistes (qui au final ne sont que des maillons d'une chaine qui s'allonge au fur et à mesure)... Au final, il y avait tellement de changements rapides, je m'y suis perdue et je n'avais plus trop envie de me torturer les méninges pour essayer de comprendre qui faisait quoi, pourquoi et comment. On est bien d'accord que l'histoire fait toujours réfléchir puisque souvent basée sur des recherches de l'auteur mais avec tout ce qu'on nous cache dans le monde, on n'est plus à ça près. 

Et puis la deuxième enquête menée par dessus la première était, à mon avis, de trop. L'auteur aurait pu faire 2 livres plutôt qu'un seul car je me suis perdue aussi à vouloir suivre les rebondissements liés aux 2 histoires. 

J'aurais pu m'arrêter au milieu, j'ai voulu terminer. On va dire que ce n'est pas le meilleur Thilliez que j'ai lu mais pour les fans de l'auteur, vous y trouverez ce que vous êtes venus chercher chez lui.

 

Les malvenus1917. Alors que la Première Guerre mondiale fait rage, un homme est retrouvé mort dans une cave du village de Haut-de-Cœur, en Bourgogne. Pas mort d’un excès de froid, de faim ou de vin, comme d’autres, mais proprement égorgé.Ici, bon nombre des habitants ont grandi sans autre père et mère que les religieuses du majestueux couvent des Ursulines. C’est le cas de l’inspecteur de police Matthias Lavau : recueilli tout petit par le couvent, il est parti faire ses armes à Paris et à Lyon avant de finalement rentrer au bercail. Son talent ? Il se souvient de tout, tout le temps. Une mémoire parfois lourde à supporter, mais dans ses enquêtes, un atout précieux.La victime aussi est un ancien des Ursulines : Thomas Sorel, bien connu dans les alentours, et presque unanimement détesté… C’est le bras armé du très redouté maire. Beaucoup ont souhaité sa mort, pour des raisons valables, le plus souvent.Dans l’atmosphère crépusculaire de l’hiver interminable qui s’est abattu sur la région, Matthias et son assistante Esther vont devoir démêler les racines du Mal, entrelacées depuis des décennies et profondément plantées dans les passions, les vices et les secrets de Haut-de-Cœur.Audrey Brière a 37 ans et vit en région parisienne. Les Malvenus est son premier roman.

Le 4ème de couverture et la couverture en elle-même m'avaient interpellé, j'ai donc commencé ce roman. 

Au départ, j'ai trouvé ça assez simple au niveau vocabulaire et syntaxe et je me suis dit que cela aurait pu être proposé en roman pour ados mais à la suite, lorsque l'histoire se focalise sur le cadavre de Thomas Sorel, je me suis dit que non, c'était un peu trop sanglant et "gore" pour des ados (même si je sais qu'aujourd'hui les ados sont bien plus en avance que l'ancienne que je suis).

Un village un peu isolé, des villageois qui se connaissent tous et qui sont tous liés par nombre de secrets (trop de secrets d'après moi mais cela reste un avis), des religieuses retirées dans leur couvent, un meurtre, voilà la base du livre.

C'est le 1er roman de l'auteure et on ne peut que la féliciter d'avoir sauté le pas de l'écriture mais j'ai trouvé, comme je le disais précédemment, l'écriture un peu "simpliste" et pas assez d'envergure pour les protagonistes. J'ai pensé, à un moment, me retrouver dans les romans lus dernièrement sur Valentin verne et le bureau des affaires occultes mais le style en est encore très loin. (tout comme le suppose le bandeau qui propose ce livre tel un mélange de Vargas et Lemaitre. Alors n'ayant quasi pas lu du 1er, je ne peux répondre mais pour ce qui est du 2eme, nous n'y sommes pas du tout mais vraiment pas. L'époque peut-être, le thème à voir, mais pas du tout la façon d'écrire) 

Il faut espérer que la suite soit plus étoffée et plus enrichie au niveau des émotions. J'attends de voir et l'espère pour l'auteure qui a tout de même eu l'imagination de ce 1er opus.  

 

la chant de nos filles

1924, Caroline du Sud.
Alors que la région a vu ses plantations et son économie dévastées, Gertrude, mère de quatre enfants, doit prendre une décision terrible. Elle est prête à tout pour sauver ses filles de la famine et échapper à son mari violent. Retta, elle, navigue dans un monde difficile en tant qu'esclave affranchie employée par les Coles, autrefois propriétaires de sa famille.
Enfin, Annie Coles, la matriarche, doit faire face à la sinistre vérité qui a déchiré les siens.
Ces trois femmes n'ont apparemment rien en commun. Mais le destin va pourtant les unir, lorsque chacune décidera de faire face, à sa manière, pour que prennent fin les injustices...

Dans cette histoire nous retrouvons trois femmes: Gertrude la femme qui est battue par son mari, Retta qui est une esclave affranchie et qui travaille chez Annie Coles la 3ème héroïne. 

Lorsque j'ai commencé ce livre, je me suis dit que j'allais retrouver un roman du type "la couleur des sentiments" ou "Beignets de tomates vertes" tant le début était prometteur. Et puis j'ai tourné les pages et plus je tournais les pages, plus je m'ennuyais. Moi qui arrive à lire un livre un moins de 2 jours, j'ai mis une semaine à le terminer (et encore j'ai lu la fin en diagonale). 

Au bout de 10 pages, je m'endormais limite sur cette histoire (je lis souvent le soir). J'ai d'ailleurs failli le lâcher tant le "secret" qui lie ces femmes était prévisible. Mais je me suis dit "on ne sait jamais... la fin réserve peut-être une surprise". 

Alors oui, la fin est un peu surprenante si l'on peut dire mais elle ne m'a pas permis de garder une bonne impression de ce livre. 

 Commencé mais non terminé:

Ombres sur la tamise

En 1945, nos parents partirent en nous laissant aux soins de deux hommes qui étaient peut-être des criminels. Dans le Londres de l’après-guerre encore meurtri par les séquelles du Blitz, deux adolescents, Nathanael et Rachel, sont confiés par leurs parents à de mystérieux individus. L’un d’eux, surnommé « Le Papillon de Nuit », va se charger de leur éducation, et les entraîner progressivement dans un monde interlope, aux marges de la légalité. On y conduit des bateaux, la nuit, en utilisant un code étrange fait de chants d’oiseaux. On y fréquente le milieu des paris clandestins et des courses de lévriers. On n’y est jamais sûr de rien… Mais ces gens qui les initient et les protègent sont-ils vraiment ceux qu’ils prétendent être ?Bien des années passeront avant que Nathanael fasse toute la lumière sur son enfance, et comprenne enfin ce qui s’est vraiment passé.Avec ses zones obscures, ses épisodes féériques et ses péripéties dignes d’un roman noir, Ombres sur la Tamise est à la fois un admirable roman de formation et une réflexion sur les troubles de l’Histoire.

Alors, j'avoue, je ne suis pas rentrée du tout dans le livre. Je ne sais pas si c'est l'écriture, le style ou l'histoire un peu "emberlificotée" ou alors est-ce que ce n'était pas le moment pour moi de lire ce roman, dans tous les cas, je l'ai arrêté à peine à la moitié. Et je n'ai même pas eu le courage de le finir en diagonale. 

RumpelstilskinRumpelstiltskin, démon du petit peuple, pourchasse Lucia avant même sa naissance.

Son œil malveillant se délecte de sa lumière depuis la nuit des temps.
Maman, maman, quel est son nom ? Comment s'appelle l'affreux lutin qui se cache sous mon lit ?
Exerçant des chantages émotifs savamment orchestrés, Rumpelstiltskin ensemence l'angoisse, engendre la folie et récolte la mort.
Comment une mère peut-elle espérer sauver ses enfants de l'emprise d'un traqueur intemporel, fugace et démoniaque ?
Rum... Rumpel... comment ?
Rappelez-vous son nom, car si vous le surprenez sous votre lit, il sera déjà trop tard...
Croyez-vous avoir ce qu'il faut pour lire cette nouvelle version du fameux conte des Frères Grimm ? Attention, vous pourriez devenir obsédé par ce qui se cache sous votre lit...

N'ayant plus rien à lire, mon mari m'avait pris ce livre à la médiathèque sachant que j'avais déjà lu 2 "contes interdits". J'avais été échaudé par les 2 premiers lus, ne sachant pas si j'avais trop envie de continuer à lire cette "série". Mais en attendant un autre livre, je me suis dit pourquoi pas... Et bien, je dirais vraiment non! Autant les 2 premiers que j'avais terminés (à savoir le magicien d'Oz et la Belle et la bête) avaient encore un peu de sens, autant celui-ci m'a totalement perdu. Je n'ai pas du tout compris cette histoire (enfin si, je l'ai compris mais pas compris dans le sens que l'auteure voulait lui donner). Déjà, pourquoi faire vivre les protagonistes comme au Moyen Age alors que l'histoire se déroule de nos jours? Et puis je n'ai rien trouvé d'effrayant dans ce que j'ai pu lire: une histoire de nain, d'oiseaux... Au bout de 50 pages, j'ai fermé le livre n'ayant pas envie de poursuivre cette lecture qui était inintéressante pour moi. Pourtant l'auteure semble avoir été demi finaliste pour un prix. Il faut croire que je n'arriverai jamais à rentrer dans les livres primés. Après il fera certainement le bonheur d'autres lecteurs. 

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Commentaires
S
Des titres qui ne m'enthousiasment pas.<br /> <br /> Bonne lecture pour les fêtes.<br /> <br /> Sylvie
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L'antre des Fées
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